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toinou LFC

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Tout ce qui a été posté par toinou LFC

  1. - 10 à 20 ans ? La nouvelle accademy donne déjà pas mal de bourgeons. Ce ne sont pas tous des joueurs formés au club mais arrivés très tôt. -Je le redis je donne du crédit à Rafa pour avoir amener Segura et Borrell, mais je ne lui attribu pas leur travail ! C'est quand même pas dur à comprendre ?! -Quandt à Kenny oui je sais tout ca et c'est la même chose. -Qu'est-ce qu'on en savait s'ils étaient bons ? Ils ne jouaient pas. Bref j'ai pas besoin d'argumenter là dessus, c'est juste un fait. -La demande des pouvoirs sur l'academy je ne savais pas qu'il était en battaille pour l'obtenir depuis le début. J'aimerais bien lire un article là dessus. -Quand je dis des flèches, c'est pour exprimer la rigidité tactique. Tout est calibré dans le jeu de Rafa, n'est-il pas ? Tu trouves le jeu de Rafa semblable à celui du Barca ou dans une moindre mesure à l'Athletic Bilbao ? Pas moi. Ce que je dis c'est qu'il est plus difficile d'intégrer un jeune joueurs sans expérience et moins discipliné qu'un taulier dans une équipe règler comme une horloge suisse. Les faits me donnent raison.
  2. Quand je dis qu'il n'est pas tout seul, je pense pas aux managers précédents mais comme tu l'as dit, on doit beaucoup à Segura et Borrel ( oui Rafa les a fait venir mais il peut pas non plus s'attribuer leur travail ). On peut également remercier KK qui a joué un rôle d'amabassadeur chez les jeunes il me semble. Et RAFA ne s'en est pas du tout occupé de l'academy pendant les premières années, c'est surtout vers la fin de son règne que les fondations ont été reconstruites. Peut être que beaucoup n'étaient pas prêt mais Rafa ne fait pas confiance aux jeunes, that's a fact. C'est très compréhensible d'ailleurs. Le mec si visualise les matchs avec des flèches, il va pas faire dévarquer un petit Sterling qui n'a aucune discipline tactique ou presque. Et ca j'ai peur que ca bloque le développement ou frustre certains.
  3. Je suis d'accord, Rafa a remis de l'ordre dans l'academy, même si ce n'est pas que lui hein. Quand je parle des rigidités tactiques, c'est pas en terme de résultats ( ca a fait ses preuves contre les plus grandes équipes européénnes ), mais je parle de l'insertion des jeunes dans l'équipe. On a souvent été frustrés par le temps de jeu des jeunes avec Rafa qui était proche du néant.
  4. FSG fait des jeunes joueurs le pilier central de leur projet. Tu penses que ca pourrait coller avec RAFA ? La rigidité de ses schémas tactiques pourrait poser problème... Et pis ca fait un peu retour vers le passé, ce qui ne doit pas trop plaire à FSG. Et j'oubliais l'arrivée de Rafa, c'est aussi le départ hélico presto de DC.
  5. Je suis pas scandalisé non plus, mais je cautionne pas c'est tout
  6. :blink: :blink: C'est fou pour chabal, je l'avais même pas reconnu avant de te lire. Carroll il est stylé comme ca !
  7. Suarez: Cups bode well for 2012-13 20th Mar 2012 - Latest News Luis Suarez believes reaching two finals in one season would send a message to the rest of the Barclays Premier League about Liverpool's potential next season. The Reds already have the Carling Cup in the cabinet, and following Sunday's 2-1 FA Cup quarter-final victory over Stoke in which Suarez scored a wonderful goal, they are now just two victories away from an historic double. And the Uruguayan told Liverpoolfc.tv: "I think after such a long period, to get to two finals in one season would be great for the club, a real positive. "It would show just how the team are getting used to the manager's system and style of play, as well as how well the new arrivals have settled into the side. That's a good sign for next season too. "It would be something really special. To be just a season and a half with a club and win two medals would be great. It's just a case of trying to keep calm and collected, and waiting for the game to come around. "If we get the chance to win it, then we can enjoy it, because winning trophies is never easy, especially here in England." Suarez is excited about the prospect of playing a semi-final at Wembley within two months of our penalty shoot-out triumph over Cardiff City, but he is keen to stress the importance of not losing focus on the league. 'I'm loving LFC life' And while accepting that Champions League qualification will be difficult, he is not conceding hope. "It's a great feeling because it's a superb stadium and always a great spectacle for everyone who loves their football," said the 25-year-old. "Going back there with Liverpool to play in a semi-final is going to be a great occasion but we first of all have to concentrate on the important league games coming up before we begin to think about Wembley. "Things have become difficult to grab a place in the Champions League but we will keep battling hard right until the end of the season and try to give a good account of ourselves." Liverpool will face the winner of the quarter-final replay between Everton and Sunderland - with the game likely to be played on April 14. The possibility of an all-Merseyside semi-final has created a buzz in the city, but Suarez is calm about whoever the opponents turn out to be. "It doesn't matter," he said. "A semi-final is a semi-final and we will be fighting like our lives depended on it against either of the two teams. "Yes, a derby game, and at Wembley, would be special, but they still have a replay to come. Whoever wins, we'll be waiting calmly for them." Encore une ITW de Luis, on voit clairement qu'il a la tête chez nous, pour ceux qui en doutaient. Et la phrase en gras résume bien le personnage .Dommage que toute l'équipe n'en fasse pas autant.
  8. Suarez niveau blessure on a pas trop à se plaindre pour le moment hein. Je touche du bois.
  9. T'aurais l'occasion d'aller aux JO pour ta patrie, tu ne le ferais pas ? On peut pas trop lui en vouloir mais bon c'est vrai que c'est pas top.
  10. toinou LFC

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    BROTHERS IN ARMS !
  11. toinou LFC

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    La plus belle de DAGGER et MARTIN reste quand même celle là d'après moi !
  12. Merci l'ami ! Apparemment KK lui demande également son avis sur certains joueurs ( SEBA ? ) ! Viens mon petit Cavani viens..................
  13. SUAREZ ne restera pas à vie chez nous, mais je suis certain à 45552825865689865686 % qu'il ne partira pas cet été.
  14. Luis Suárez "Mirá que de lo de Evra no me dejan hablar", aclaró ayer Luis Suárez en la recepción del complejo Melwood donde entrena el Liverpool. "Recién cuando termine la temporada voy a dar dos entrevistas para diarios de Uruguay y otras dos para España; y también puede ser que hable para el diario de acá, de Liverpool, que siempre me defendió", siguió explicando con su voz tomada por la gripe, que no le impidió entrenar después para el partido de hoy frente al Stoke City. SILVIA PÉREZ En Liverpool El Pais en Inglaterra - ¿Cómo va su vida en Inglaterra? En Uruguay hay gente que cree que es un infierno. -No, nada que ver. Obviamente, que si entrás a Internet y leés los diarios, pensás que estoy viviendo algo muy difícil, pero la verdad es que estoy muy bien. Acá se dijeron muchas cosas, pero yo nunca me puse a leer o a escuchar lo que se decía. Es como cuando estás a punto de pasar a otro equipo, si escuchás todo lo que se dice, te volvés loco. La verdad sólo leía lo que se publicaba en Uruguay, de acá nada; y estar apartado de todo el tema fue lo mejor. Me dediqué a venir al club a hacer lo mismo de siempre y olvidarme del resto. Mis compañeros se sorprendían, me decían que me veían como si no hubiera pasado nada; y eso también fue muy bueno para mí. -Hace un poco más de un año que está acá ¿qué fue lo que más le costó de Inglaterra? -Manejar por la izquierda. Je. La primera semana fue muy complicada, pero no hay más remedio que acostumbrarse y adaptarse. Yo pensaba que venir a un país tan diferente me iba a costar mucho, pero no fue así. Con mi familia seguimos viviendo como lo hacíamos en Holanda. Muy ajenos a todo y con la misma rutina. -¿Se imaginaba que se iba a ver envuelto en un problema como éste y que el mundo entero iba a hablar del tema? -No, la verdad que no. Es parecido a lo que pasó con la mano en el Mundial. A mí me encantaría que se acordaran de mí y que se hablara por lo los goles y por las cosas que hago para el equipo, no por problemas mediáticos. Pero son cosas que pasan en el fútbol, que algún día quedarán como anécdotas y que yo hoy trato de olvidar. -Algunos ingleses lo consideran una víctima de la situación y otros el culpable, ¿usted cómo se siente? -En el caso de la suspensión de los ocho partidos creo que fui un poco víctima. Lo que más me duele es que estuve en el juicio y no hubo ninguna prueba concreta. Fue simplemente mi palabra contra la del otro jugador y se le creyó a él. Eso me dolió muchísimo. Hubo días en que me levanté a las 6 y media de la mañana para ir al juicio a Manchester y volví recién a las 8 de la noche. Ese momento fue muy complicado. Lo otro, son cosas del fútbol y hay gente que opina de una manera y otros de otra; pero yo ya he jugado en otros países, hay mucha gente que me conoce y he demostrado como soy. Creo que no merezco que se me haya tratado como se me trató. -Después de tantos líos debe haber sido muy lindo reencontrarse con el grupo de la selección, ¿verdad? -Muy bueno. Aparte de mi familia fueron los que me defendieron y me aguantaron siempre. Salieron a declarar a favor mío a pesar de todo lo que se estaba diciendo. Eso fue muy importante para mí. Ni ellos ni el maestro tuvieron ninguna duda de la clase de persona que soy. Eso me dejó muy tranquilo, sobre todo porque hoy la imagen de la selección es muy importante. -¿Qué le dijo el maestro en esa charla que tuvieron? -Hablamos de todo lo que había pasado porque él lo que sabía era lo que decía todo el mundo. Quiso saber bien qué era lo que había pasado. Me preguntó cómo estaba yo anímicamente y le dije que se quedara tranquilo que estoy bien. Trato de hacer como si no hubiera pasado nada, pero a veces cuesta un poco. Soy un ser humano y tuve mis dolores. Si estaba aburrido y entraba a Internet tenía que cerrar enseguida porque todo era Suárez, esto Suárez, lo otro. Por suerte, tengo a mi hija y a mi señora y a Sebastián (Coates) y la novia que fueron un gran respaldo para mí. Le dije al maestro que lo que había pasado tampoco era para bajar los brazos, que sabía que tenia que seguir adelante por el club y por la selección. El me dijo que confiaba en mí y lo repitió delante del grupo. Dijo que dijeran lo que dijeran de mí a él no le iban a entrar ni las balas porque sabía como soy. Esa fue la frase que usó delante de los compañeros. -¿Se va a quedar en Liverpool, o cree que un cambio de aire sería bueno? -Me quiero quedar. A pesar de todo lo que pasó, estoy muy feliz acá, dentro y fuera de la cancha. Liverpool es uno de los clubes más grandes de Europa, un histórico. De niño lo veía jugar y me encantaba. Y en el club están contentos conmigo y quieren que me quede. Ellos saben que fueron cosas extra deportivas que sucedieron y que ya están en el olvido. Tengo contrato hasta el 2016 y ya quieren renovármelo. El técnico sigue confiando en mí y eso es muy importante. Sobre todo después de haber estado ocho partidos afuera. -A propósito de Dalglish, se ve que lo quiere mucho pues lo ha defendido a capa y espada, ¿cómo es la relación? -Intenta hablar español conmigo, me pregunta cómo estoy, cómo está mi familia. O si he visto determinado partido y me pregunta sobre los jugadores. Son detalles que me dejan muy conforme. Sobre todo porque acá no se estila mucho que el entrenador converse así con los jugadores. Eso me da mucha confianza. -Ya ganó su primer título con el club, ¿para qué está este Liverpool? -Hace sólo un año que llegué y ya gané un titulo, lo que no es nada fácil en Inglaterra. El equipo está en un proceso de adaptación, porque este año llegaron seis o siete jugadores. Hemos hecho una liga regular, pero si seguimos así el año que viene nos metemos en Champions seguro. -Últimamente parece que cumple otro papel, da más goles de los que hace. -Lo importante es ayudar al equipo. Cuando un delantero no está en racha goleadora debe aprovechar otras opciones. Obvio, que siempre quiero hacer goles, pero también me gusta darlos. Eso para los que dicen que juego muy solo arriba. Lo que pasa es que de afuera las cosas se ven distintas. A veces salimos con tres delanteros. Lo que pasa es que la Premier es muy difícil. -Volvamos a la selección, ¿cree que podrá seguir manteniendo ese nivel que nos tiene a todos tan orgullosos? -Esperemos que sí. Costó mucho mantener el proceso y lograr esta estabilidad. Nos hemos ganado un respeto y un nombre. Hoy los demás equipos nos respetan, como lo hacíamos nosotros antes con ellos. Ya no jugamos con miedo. Nos conocemos de memoria, pero hay que tener los pies sobre la tierra porque las Eliminatorias son siempre muy difíciles y muy largas. Estos dos partidos de junio son muy importantes para sacar ventaja. -Faltan sólo tres meses para los Juegos Olímpicos, que justo serán en el país donde juega usted ¿le gustará estar? -Me ilusiono con estar, igual que todos los compañeros. Todos queremos estar, pero la decisión es del maestro y del club. Si jugábamos la Champions era muy difícil que me dejaran ir, pero ahora estamos lejos de lograrlo. El campeonato empieza a mitad de agosto, no sé si me dejarían ir. No he hablado nada con el club, porque el maestro tampoco me pidió que lo hiciera. Yo ya le dije que acá soy local. Je. LINDO. "Estar en unos Juegos Olímpicos con Uruguay sería algo increíble. Ya jugué Copa América y Mundial, me faltan los Juegos. Sería muy lindo. ¡Impresionante!" TREN. "El miércoles pasado fui en tren a Londres, para acompañar un rato a la esposa de Cavani, y a su hijo Bautista, pero no pude quedarme a Chelsea-Napoli". las 20:00". SUFRIMIENTO. "La que más sufrió con todo lo que pasó con el caso de Evra fue mi esposa, Sofía. "Yo le decía que no leyera nada, ¡que era peor!". Evra: "Mis compañeros se sorprendían, decían que me veían como si no hubiera pasado nada; eso fue muy bueno para mí". Tabárez: "Dijo delante del grupo que confiaba en mí y que, dijeran lo que dijeran, a él no le entraban ni las balas". Dalglish: "Me pregunta por mi familia, sí ví algún partido; son detalles, pues acá no se estila que el entrenador hable así con los jugadores". Traduction de la phrase la plus importante : -Vas tu resté à Liverpool, ou penses-tu qu'un changement te ferait du bien après tout ce qui s'est passé ? -Je veux rester. Malgré ce qu'il s'est passé, je suis très heureux ici, sur et en dehors du terrain. Liverpool est un des plus grands clubs d'europe, un club historique. Quand j'étais jeune, je les regardais joué et je les adorais. Et le club est très heureux de m'avoir et veut me garder. Ils savent que ce qui s'est passé n'a rien avoir avec le sport et que c'est du passé maintenant. J'ai un contrat jusqu'en 2016 et ils veulent déjà le renouveler. Le coach croit toujours en moi ce qui est très important, surtout après que j'ai été suspendu 8 matchs. RODO, si j'ai bien compris tu connais très bien l'Amérique du Sud, je pense donc que tu te débrouilles donc pas mal dans tout ce qu'est espagnol etc... J'ai trouvé cette ITW de Luis dans le journal sportif urugayen OVACION, ce serait cool que tu le traduises dans les grandes lignes ! Parce que je n'ai que la traduction de cette phrase. Merci d'avance
  15. Une ITW très interessante de LUIS à venir.
  16. Il est loin d'exceller dans le jeu. D'ailleurs ca n'a jamais été sa force. Sa force c'était d'être "clinical".
  17. toinou LFC

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