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      OLSC France fête ses 21 ans !!!   14/04/2024

      OLSC France dit Liverpool France... SAVE THE DATE !!! Bonjour Kopites, Nous vivons une fin de saison absolument exceptionnelle avec nos Reds. OLSC France compte actuellement 1153 membres 2023-24 qui ne cessent de vibrer à chaque match. Aussi, pour immortaliser ce moment, le bureau a décidé qu'un évènement important devait marquer cette année.  C'est pour cela OLSC France organise la fête de ses 21 ans, le samedi 16 novembre 2024 en région parisienne. Note bien cette date sur ton agenda pour faire partie de la fête. Tous les détails seront communiqués très bientôt par ici sur le forum : Cette soirée permettra de nous retrouver en grand nombre autour de notre passion. Des cadeaux, des invités surprises, de la musique, à boire et à manger feront de cette fête un moment inoubliable de la vie de notre  belle association. A très bientôt, YNWA Le bureau OLSC France

Captain Fantastic


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Un CR de sa bio à l'occasion du testimonial de notre capitaine :

Gerrard My Autobiography

La lecture des biographies de joueurs, surtout s'agissant de produits de plus en plus standardisés, amène à retrouver quelques invariants :

- le chapitre traditionnel consacré à sa femme et ses enfants,

- le déroulement des principales compétitions éliminatoires avec son club (ligue des champions 2005, coupe d'angleterre 2006) ou la sélection nationale (il cachera même à Keegan une blessure pour pouvoir jouer un match à l'Euro 2000 qu'il sera néanmoins obligé finalement d'avouer avant la rencontre),

- les mésaventures de jeunesse avec des accidents qui auraient pu coûter une carrière de footballeur (Stevie s'empalant sur un portail rouillé) ou des petits vols dans des magasins (à onze ans dans son cas) entraînant un « retour dans le droit chemin » suite un sermon des parents.

Si la biographie de Stevie G n'échappe pas à ses passages obligés et ne parvient pas à atteindre le caractère authentique de celle de Carra, elle contient néanmoins quelques informations intéressantes pour tout supporter des Reds, outre sa importante progression salariale, décrite avec une certaine honnêteté entre son statut d’apprenti puis de joueur de classe mondiale...

De même, il avoue qu'un mauvais passage dans sa carrière, notamment à l'occasion de l'élimination de Liverpool en ligue des champions à Bâle en 2003, était dû à la séparation de ses parents (son père ayant dû même s'expliquer directement avec Gérard Houllier sur ce sujet).

En introduction, Stevie (ou son ghost-writer) rend un hommage émouvant à son cousin John-Paul mort dans la tragédie d'Hillsborough. Il rappelle également qu'un autre joueur (Paul Harrison, gardien réserviste, avait perdu son père) a été touché directement par ce triste évènement.

Il décrit ensuite l'itinéraire d'un jeune footballeur doué mais qui ne sera pas paradoxalement retenu, contrairement à Michael Owen, à Lilleshall, une école anglaise réputée pour le football, à la grande satisfaction de Steve Heighway, directeur de l'Academy.

Le jeune StevieG fait partie des jeunes prometteurs auquel les grands clubs font la cour : United lui propose ainsi un contrat de trois ans et il rencontrera avec d'autres jeunes Alex Ferguson.

Les supporters de Liverpool peuvent toutefois se rassurer : Il déteste Manchester United par-dessus tout même s'il a pu porter à l'occasion, provoquant d’ailleurs le courroux paternel, le maillot n°7 des Red Devils floqué de Robson. Heureusement désormais, les maillots de MU sont bannis de sa maison même s'il reconnaît une certaine admiration pour Roy Keane.

La vie d'apprenti-footballeur, au contact des joueurs de l'équipe-première, s'avère plus compliquée avec les joueurs étrangers (dont notamment Patrick Berger) tandis que la relation est plus facile à établir avec les joueurs anglais (Carra, Redknapp et même Ince après un démarrage compliqué).

Il revient également sur ses envies d'ailleurs même si sa préférence ne semble pas d'avoir été d'aller jouer à l'étranger étant donné son « addiction » pour le jeu anglais et ses tacles "virils" : Il verra d'ailleurs, à seize ans, un psychologue en raison de son engagement excessif sur le terrain.

En revanche, il admet avoir été tenté par deux fois de rejoindre les blues de Chelsea, la première fois, en 2004, en raison du manque d'ambition de Liverpool, la deuxième en 2005 suite à une incompréhension avec le board et l'attente d'une proposition de renouvellement de contrat qui ne venait pas. A cette occasion, il est évidemment impressionné par des fans brûlant son maillot devant Anfield…

Heureusement, les choses sont rentrées depuis dans l'ordre, Stevie n'exigeant même plus dans son nouveau contrat une clause lui permettant de quitter Liverpool en cas de résultats insuffisants. A propos de ses transferts avortés à Chelsea, il dément également toute rixe avec Carra, dont il reconnaît qu'il ne serait pas nécessairement sorti vainqueur…

Sa relation avec ses entraîneurs apparait aussi ambivalente. Il apprécie beaucoup Gérard Houllier mais en reconnaît également les limites. Il lui reproche notamment d'avoir voulu s'approprier sa "découverte" et ainsi, en partie, nier le travail de Steve Heighway, son véritable mentor qu'il apprécie tout particulièrement. Il a également une haute estime de Patrice Bergues. A retenir aussi un proverbe de GH "Pourquoi aller en boîte de nuit quand on peut en posséder une à la fin de sa carrière ?".

Benitez est le meilleur coach avec lequel il ait travaillé même s'il regrette, en filigrane, son manque de communication hors du football avec les joueurs. Croisant sa mère dans l'avion en 2004, alors que les pourparlers avec Chelsea s'intensifient, la première question de Rafa sera de demander si son fils aime l'argent…

Le speech de Rafa à la mi-temps de la finale contre Milan AC à Istanbul est aussi dévoilé : "Ne courbez pas la tête. Vous jouez pour Liverpool. Ne l'oubliez pas. Vous ne pouvez pas être un joueur de Liverpool si vous vous ne tenez pas la tête haute. Les supporters ont fait un long voyage. Vous ne pouvez pas les laisser tomber. Donnez-vous une chance d'être des héros". Il indique aussi que le YNWA aurait été entendu des vestiaires et, en conséquence, a pu constituer une réelle source de motivation pour les joueurs.

Cette biographie se révèle donc plaisante à lire même si elle ne présente aucune véritable révélation.

Elle est désormais un peu datée car publiée en 2007. On peut ainsi y lire qu'il entend jouer dans le nouveau stade de Stanley Park ainsi qu'entendre du bien de J. Pennant et même de Hicks et Gillett…

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Autobiographie que j'ai lu il y a quelques années.

Je l'avais justement acheter afin d'avoir des informations sur ses envies de Blues. J'avais été assez conquis par l’honnêteté avec laquelle il abordait le thème.

Par ailleurs, je lis actuellement Goodfella de Craig Bellamy, Steven Gerrard et Mark Hugues sont en préface. Je ferai surement un compte rendu car pour le coup, la bio de Craig est poignante. Certains passages sur Gary Speed ou son divorce ( A peu près à la même période) sont très fort.

Super CR en tous cas :respect:

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