Aller au contenu
  • Annonces

    • ant

      OLSC France fête ses 21 ans !!!   14/04/2024

      OLSC France dit Liverpool France... SAVE THE DATE !!! Bonjour Kopites, Nous vivons une fin de saison absolument exceptionnelle avec nos Reds. OLSC France compte actuellement 1153 membres 2023-24 qui ne cessent de vibrer à chaque match. Aussi, pour immortaliser ce moment, le bureau a décidé qu'un évènement important devait marquer cette année.  C'est pour cela OLSC France organise la fête de ses 21 ans, le samedi 16 novembre 2024 en région parisienne. Note bien cette date sur ton agenda pour faire partie de la fête. Tous les détails seront communiqués très bientôt par ici sur le forum : Cette soirée permettra de nous retrouver en grand nombre autour de notre passion. Des cadeaux, des invités surprises, de la musique, à boire et à manger feront de cette fête un moment inoubliable de la vie de notre  belle association. A très bientôt, YNWA Le bureau OLSC France

Ancien coach : Benitez > Why Everton Rafa ????


matlehulk

Messages recommandés

Je le vois pas rester longtemps au Real. Une saison et puis s'en va pour moi. Il a fait son temps et excepté son passage à Chelsea, il a rien fait de grandiose à Naples et surtout à l'Inter.

Le Real aurait dû garder Carlo.

Modifié par suarez7
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • Réponses 1k
  • Created
  • Dernière réponse

Top Posters In This Topic

Je le vois pas rester longtemps au Real. Une saison et puis s'en va pour moi. Il a fait son temps et excepté son passage à Chelsea, il a rien fait de grandiose à Naples et surtout à l'Inter.

Le Real aurait dû garder Carlo.

Tout à fait d'accord avec toi.

 

Pas sure que le Real gagne à l'échange.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Non mais vous êtes sérieux sur Benitez?

 

Le mec fait parti du gratin. A Naples il fait de bonnes saisons sans être exceptionnel. Mais ce qu'il a fait avec Chelsea et surtout Liverpool est juste incroyable.

 

Je passerai l'épisode Inter qui n'était vraiment pas un cadeau de passer après Mourinho et des joueurs complètement rincés...

 

 

Après je suis d’accord je ne le vois pas réussir au Real, et je suis certain qu'il a juste été pris pour laisser le temps a Zidane de finir sa formation.

 

De toute façon Benitez est un coach particulier, le genre de mec qui a besoin d'avoir la main complète sur le vestiaire, avec des grosses tête comme Ronaldo ou Ramos ça va être compliqué pour lui.

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 4 months later...

En effet, ça a été compliqué pour lui, vous aviez raison

Ce club est dingue ! 20 coachs en 20 ans...

Et des joueurs ingérables aux boulards énormes...

Il laisse le club sur le podium de la la Liga, vainqueur de son groupe en LDC... No comment

Pauvre Rafa... :lfcfan:

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'était prévisible qu'il était la juste pour apporter de l'eau le temps que Zidane soit prêt.

J'aime vraiment pas la manière de manager du Real, une des pires possible. A aucun moment Benitez n'a eu la confiance des dirigeants ou des joueurs pour travailler comme il faut. Mission impossible pour lui.

 

Bonne chance Rapha, tu retrouvera un meilleur club c'est sûre

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 2 months later...

Passer du Real à Newcastle, cette chute aux enfers... pauvre Rafa :'(

Ca me rappelle un certain Michael Owen qui avait fait le même chemin (en 2006, je crois). La différence s'arrête là, car je doute que Rafa finisse à "Old Toilet"  :lol:

Certes Newcastle n'est pas un club huppé. Mais Rafa sera proche de sa famille (sa femme et ses filles habitent au Wirral) et, si on lui laisse le temps et quelques moyens, il pourra faire du bon boulot.

Rafa, I still trust you.
 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

C'est un risque qu'il prend, en effet. 

Mais si on regarde le calendrier, il peut réussir à sauver Newcastle de la relégation. Il y a deux matchs à gagner : le Tyne and Wear Derby et le match à Villa Park.

Et si il peut ramener un peu de lustre à Newcastle, ce n'est pas pour me déplaire. 

 

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je ne savais pas qu'il voulait découvrir la Championship.

Blague à part, il descend bas par rapport à ses précédents clubs quand même.Newcastle est un club historique d'Angleterre mais ils sont à chier depuis un petit temps déjà.

J'espère qu'il parviendra à les sauver et à leur redonner des couleurs pour l'avenir...

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Passer du Real à Newcastle, cette chute aux enfers... pauvre Rafa :'(

je ne le vois pas comme ça. Regarde Rainieri à Leicester. La roue tourne trés vite dans le football.

Puis je préfère le voir á Newcastle qu'à Chelsea ou City ou pire à united.

Il peut faire quelque chose de bien à Newcastle et ne sera pas considéré comme une merde comme il a été au Réal ou à Chelsea. C'est un club où il poura se relancer.

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

Je ne savais pas qu'il voulait découvrir la Championship.

Blague à part, il descend bas par rapport à ses précédents clubs quand même.Newcastle est un club historique d'Angleterre mais ils sont à chier depuis un petit temps déjà.

J'espère qu'il parviendra à les sauver et à leur redonner des couleurs pour l'avenir...

Qu'il les sauve , qu'il leur redonne des couleurs ,mais pas trop quand meme ... avec Everton qui à un nouvel investisseur , et si Newcastle se met à avoir un bon entraineur y aura 10 clubs pour 6 places européennes

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 year later...
  • 2 weeks later...
  • 1 month later...

Je regardais le classement de Premier League ce matin et je découvre que Newcastle est 7ème, avec un point de plus que Liverpool.

Je sais, je sais, je reste nostalgique de Rafa Bénitez  :wub::wub::wub: et je n'ose pas imaginer ce qu'il aurait pu faire s'il n'avait pas été viré avant l'arrivée de FSG (ou NESV à l'époque).

PS: Je sais, je me fais du mal. :D

Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 3 weeks later...
  • 2 months later...

CHRONIQUE. Correspondant permanent en Angleterre pour SFR Sport, Philippe Auclair jette chaque semaine son œil d’expert sur la Premier League et le foot anglais. Aujourd’hui, focus sur Rafael Benitez qui, à y regarder de plus près, est peut-être tout bonnement en passe décrire l’une des plus belles histoires de football de sa vie à Newcastle.

Le décor : un bar à tapas de Mayfair, à l’heure du déjeuner, lequel a été plutôt bien arrosé, particulièrement pour ce qui est d’un ancien international anglais chauffé par le Rioja, qui a maille à partir avec un des convives. Le sujet de leur conversation n’est pas de ceux qui sont familiers à notre international, et n’a d’ailleurs rien à voir avec son sport, ce qui ne l’empêche pas de parler plus haut que tout le monde, convaincu qu’il est de ne pouvoir avoir tort. Ou plutôt, incapable qu’il est de reconnaître qu’il puisse avoir tort en public, même s’il sait pertinemment que c’est le cas. Et ça l’est, à en être gênant. Les autres personnes présentes à la table prennent le parti d’en rire, ce qui l’énerve encore plus. C’est alors qu’il sort l’argument-massue : "De toute façon, lance-t-il avec une expression de triomphe, qui de nous a marqué le plus de buts à X…. ?"

Le pire est qu’il était sérieux. On est un winner ou on l’est pas – au point de devenir incapable de comprendre qu’on puisse perdre, ou de prendre conscience qu’on a perdu, quand bien même cela n’a pas la moindre importance et qu’il n’y aurait de toute façon aucune honte à ça. C’est la vieille ritournelle: "show me your medals’, ‘c’est quoi, tes titres?", comme si une jolie collection de hochets faisait du bébé qui les a dans sa poussette le plus ravissant du monde.

Benitez, un cas à part

L’exemple que j’ai pris (et dont je garantis l’authenticité) est un exemple ad absurdum, évidemment, néanmoins symptomatique d’une culture du sport qui est à ce point obsédée par l’idée de victoire que leur nombre et leur prestige a pu devenir le mètre-étalon de la réussite d’un athlète ou d’un entraîneur. Dans les sports individuels, c’est compréhensible, logique, même : Usain Bolt et Roger Federer, c’est aussi un style, une aura, mais ce sont d’abord des résultats (certains fans du grand Roger ne seraient pas du même avis, certes). Dans les sports collectifs, cela n’a pas le moindre sens. Bien des joueurs médiocres ont des armoires remplies de coupes et de médailles. Bien des grands ont des palmarès lacunaires, voire inexistants. Pour moi, Matt Le Tissier demeurera toujours l’un des plus beaux footballeurs que j’aie eu le privilège de voir sur un terrain anglais. Palmarès: néant. George Best a remporté deux titres de champion et une Coupe d’Europe, et c’est tout, tandis que des figurants du Manchester United de Ferguson (et de quelque autres de nos ogres contemporains) n’ont plus un centimètre carré de libre sur le dessus de la cheminée.

Ce qui m’amène à Rafael Benitez. Car Rafa est un cas à part. Questions trophées, il n’a pas grand-chose à envier à quelque autre de ses collègues, et pourrait en regarder beaucoup de haut – ce qu’il ne fera jamais. À cinquante-sept ans, il a atteint l’âge de la maturité pour un technicien, pas celui de la retraite, que j’imagine éloignée pour un tel amoureux du football. Le métier de manager n’est pas que a young man’s thing, comme Jupp Heynckes le démontre en ce moment.

Un bras d’honneur aux amputés de l’imagination

Avec un tel passé de winner dans trois des grands championnats, Benitez n’a pas dû manquer de propositions depuis son départ du Real Madrid, où il avait été si ‘catastrophique’ que son équipe pointait à quatre points de l’Atletico et à deux du Barça (et était arrivé en tête de son groupe de C1 avec 16 points sur 18) lorsque Florentino le péréza.

Mais Rafa choisit Newcastle, alors relégable, et qui fut relégué. Et Rafa resta à St James’s Park, malgré Mike Ashley. Et Newcastle remonta aussitôt, avec un titre de champion en poche.Aujourd’hui, avec un effectif qui a très peu changé depuis l’année passée en Championship, Newcastle vient de battre Manchester United et peut croire en sa survie. Rafa est toujours là, inchangé. Un tonton qu’on adore, un peu bougon, un peu grognon, un vieux qui ne vieillit pas, avec l’iPad collé sur son ventre d’amateur de morcilla et de la cuisine que lui mitonne Montse dans leur maison du Wirral, qu’ils n’ont jamais quittée.

Et je me demande si ce n’est pas à Newcastle que Benitez est en passe d’écrire une des plus belles histoires de football de sa vie, en faisant un bras d’honneur aux amputés de l’imagination pour qui on gagne quand on gagne un titre, point final. Même si cela revient à faire comme le parieur qui met son argent sur tous les chevaux qui vont courir, histoire d’être assuré contre la défaite. Si le football, c’est l’émotion (et si ça ne l’est pas, ladies and gentlemen, adieu, et bonne chance!), on ne fait pas beaucoup mieux que la communion entre la Toon Army et son général espagnol. Qui songeait que Rafa resterait à Newcastle après la descente ? Un champion d’Espagne, un champion d’Europe, allez…en D2 ? Ça a de la gueule, non? Et ça marche, en plus. 

Autant de regrets que de bons souvenirs

Être un supporter de Newcastle aujourd’hui n’est pas simple tous les jours. La relégation guette. Le propriétaire – mieux vaut ne pas en parler. La reprise du club par un consortium des plus fumeux – mieux vaut ne pas en parler non plus. Joselu. My God. Mais être supporter de Newcastle est autrement plus gratifiant qu’être fan de Southampton, West Brom ou Stoke (je pourrais rallonger la liste d’une demie-douzaine de noms). On vibre. On a un capitaine – Jamal Lascelles – adulé. On est 50 000, qui faisons plus de boucan que l’Emirates, Old Trafford, l’Emirates et l’Etihad réunis. ON A RAFA.

Partout où il est passé, Rafa a laissé autant de regrets que de bons souvenirs. C’est vrai qu’il vit sur sa planète ronde comme un ballon Tango, et que certains joueurs ont du mal à partager cette obsession du travail bien fait, ce soin de dentellière pour le détail qui fait toute la différence. Mais même à Chelsea, où il était haï quand il était arrivé à la rescousse, les fans s’en voulaient de lui en vouloir quand il est parti. Il y avait eu la Ligue Europa, la qualification pour la Ligue des Champions, Mata au sommet de son art. Rafa avait fait le dos rond, mais pas d’excuses. Il avait été digne, il avait été costaud, il avait mérité le respect.

Mais – et c’est là où Rafa est à part – il avait aussi mérité l’affection. Il est pourtant l’inverse d’un démagogue. Il est à la fois hypersensible, ce qu’il cache mal, et dur comme un vieux harnais. Il est tout simplement humain, et c’est là le secret qui n’en est pas un.

Le Rafa que j’admire, c’est aussi celui qui, de retour à Anfield, sans caméras pour filmer son moindre geste, passe vingt minutes à causer avec les fans du Main Stand qui étaient arrivés en avance. Un être profondément humain, pas toujours facile, mais sincère. Lui n’aura jamais besoin de montrer ses médailles pour prouver qu’il est un homme de football.

Tout compte fait, Newcastle lui va tellement bien.

source sfr sport
Il gonfle souvent philippe auclair mais bon sur ce coup....
Lien vers le commentaire
Partager sur d’autres sites

  • 1 year later...
  • 3 weeks later...

Rejoindre la conversation

Vous pouvez publier maintenant et vous inscrire plus tard. Si vous avez un compte, connectez-vous maintenant pour publier avec votre compte.
Remarque : votre message nécessitera l’approbation d’un modérateur avant de pouvoir être visible.

Invité
Répondre à ce sujet…

×   Collé en tant que texte enrichi.   Coller en tant que texte brut à la place

  Seulement 75 émoticônes maximum sont autorisées.

×   Votre lien a été automatiquement intégré.   Afficher plutôt comme un lien

×   Votre contenu précédent a été rétabli.   Vider l’éditeur

×   Vous ne pouvez pas directement coller des images. Envoyez-les depuis votre ordinateur ou insérez-les depuis une URL.


×
×
  • Créer...