M'sieur l'marquis

Tu cherches une logique (tu n'es pas le seul dans ce cas) alors que je cherche juste à me laisser emporter par une histoire. Et puis ces cavaliers ne se suicide pas, ils ont un sens du sacrifice que je trouve magnifique ... Donner sa vie pour en sauver d'autres, ça a de la gueule, non ?

Bravo

Maréchal des logis pour moi

J'étais grenadier voltigeur au 501 ème régiment de chars de combat (2ème DB )

J'étais dans la cavalerie blindée, donc mes chevaux ils avaient des chenilles A part ça , l'histoire regorge de charges célèbres et particulièrement de charges héroïques alors que l'ennemi était beaucoup plus nombreux. Peut-être pas des morts, mais dans une bataille, le vrai danger ce sont les vivants. Quand à la nuit, je crois que charger sous la mitraille et les canonnades, ça ne fait pas beaucoup de différences. - Le désastre de la charge de la brigade légère : Balaklava : "il n'y a pas a discuter, il n'y a pas à s'interroger, il n'y a qu'à agir et mourir" - La gloire de Murat à Eyleau : 8 février 1807. L’armée napoléonienne, engagée en Pologne pour défaire la quatrième coalition (Royaume-Uni, Prusse, Russie, Suède), se retrouve, après avoir écrasé les Prussiens lors de la campagne de Saxe, en lutte serrée aux alentours du village de Preussisch-Eylau face aux Russes de Bennigsen. L’issue de la bataille est incertaine. Face aux 80 000 russes et leurs 400 canons, l’Empereur ne dispose que de 46 000 hommes épuisés par les marches et le temps, ainsi que 300 pièces d’artillerie. Alors que Davout arrive en renfort vers 9h, ce dernier se retrouve rapidement en difficulté. Napoléon envoie donc le maréchal Augereau à son secours, appuyé par la division de Saint-Hilaire. Pris dans le brouillard et désorientés, les deux corps se retrouvent flanqués par l’armée russe et se voient décimés en quelques heures. L’armée française est menacée d’être coupée en deux et, par cette brèche créée par la contre attaque ordonnée par Bennigsen, le village d’Eylau, où Napoléon stationne au milieu de son état major, est directement menacé. Première dans l’histoire du Premier Empire : Napoléon fait donner la Garde Impériale qui, ayant reçu l’ordre de ne combattre qu’à la baillonette, défait les colonnes de grenadiers russes dans le cimetière de la ville. L’assaut est un succès, mais les français viennent d’user toutes leurs ressources. Toutes ? Pas encore. Devant les renforts de Ney qui se font attendre, l’Empereur se tourne vers le Maréchal Murat, cavalier renommé, et lui tient ces paroles restées légendaires : “Nous laisseras-tu dévorer par ces gens là ?” « Nous laisseras-tu dévorer par ces gens là ? » Sans un mot, Murat s’en va vers ses généraux et rassemble près de 12 000 cavaliers avant de lancer contre l’armée russe la plus grande charge de cavalerie de l’histoire. Les sabots font trembler la terre, une gigantesque masse cuirassée se déploie et sabre par deux fois les deux régiments de Bennigsen engagés dans l’opération. La menace est écartée, la situation est rétablie, pour un temps. À 18h, le Maréchal Ney arrive enfin avec ses 8 000 hommes. Bennigsen, usé et à cours de réserves, décide alors de se replier vers Königsberg. La victoire est française, mais les pertes sont lourdes : 10 000 tués et blessés côté français, 12 000 morts et 14 000 blessés chez les russes qui parviendront à se replier en bon ordre avant d’être définitivement battus, le 14 juin, à la bataille de Friedland qui marquera la fin de la quatrième coalition contre la France.

Une des pires Un suicide ? ... quand tu as des cavaliers (j'ai fait mon service dans la cavalerie blindée) c'est pour qu'il s'élancent, pas pour qu"ils attendent sagement de se faire embrocher, donc pour moi la charge est plus que justifiée, c'est un devoir ! Je ne discute pas les goûts et les couleurs, mais en terme de cinéma, j'ai trouvé ça sublime. Tu trouveras au cinéma des milliers de scènes beaucoup plus "gratuites" que celle-là, et qui sont pourtant entrées dans l'histoire du cinéma.

Je vous trouve bien sévères avec GOT. Je vous rejoins sur certains points, particulièrement des "accélérations" malheureuses qui nous laissent sur notre faim (les deux morts principaux). Et puis cette fin hollywoodienne qui n'en est pas une et qui laisse entrevoir la suite (obligatoire pour les producteurs), mais frustrante pour le spectateur. (le héro sur la route qui part sans se retourner ... difficile de faire plus académique ! ) Pour les dialogues en revanche, je ne suis pas d'accord avec Laura. J'ai adoré du début à la fin et je trouve certaines répliques sublimes. Et puis il y a une scène qui pour moi est entrée dans l'histoire du cinéma tout court et qui à elle seule justifie les louanges pour cette série : au début de "the long night", quand les cavaliers avec l'épée enflammée chargent ... on voit dans la nuit, les lumières s'éteindre les unes après les autres. Pour le jeu des acteurs je vous trouvent dures aussi. Mais regardez-vous en français ou en vo ?

Menthe à l'eau (ben oui c'est pas terrible mais je n'ai pas encore récupéré de ma soirée de mardi)

Si il y a des volontaires, le café "le mouillage" diffusera ce soir le match contre le Barça ... et nous y serons !

Big bang (je n'ai plus l'âge du machin de Reddingue )

Tu as bien aimé ? Comme quoi ...

Kangourou

je reprends la main, Dick van Dike n'est pas un défenseur et encore moins un footballeur

Dick van Dyke

TGV (retard)

BOXE ( multiplication des pains)

deux paires

Quand tu es fatigué, c'est le mental qui te soutien ... après leur élimination en CL, je ne sais pas dans quel état ils seront.

heu ... ce n'était pas une traduction Mais comme c'est un dessin animé japonais, j'ai fait extrapolé

fils du soleil levant (merci internet ... parce qu'effectivement je suis dans ma seconde jeunesse )

Têtard

L'année ou nous "perdons" le titre avec Rodgers, tout a été mis sur la glissade de Gerrard, mais à mon avis, la réalité est que c'est l'expulsion d'Henderson face à City et son absence dans les matchs suivants qui nous a coûté le titre plus qu'autre chose.

je ne crois pas que l'on puisse rire de tout. Et à quoi bon ? Quand on se sent meurtri, il n'y aucune raison de sourire. Si on bon mot faire rire dix personnes mais en blesse une seule, je crois qu'il vaut mieux s'abstenir.

Tu as de la chance que je t'aime bien, parce que ça ne me fait pas rire du tout.

Et bien moi, j'ai pleuré.