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rafalabamba

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Tout ce qui a été posté par rafalabamba

  1. RAOTL n°186 "The race to nowhere" en couverture Une lecture qui reste plaisante mais peu d'articles réellement marquants : L'édito revient sur les progrès à faire pour qu'Anfield devienne un stade confortable et accueillant. Le titre d'un article sur Owen résume bien le personnage "L'homme qui a vendu son âme"… Le traditionnel article de Semolina Pilchard nous plonge dans la grande histoire avec la contribution de quelques scousers pour la constitution des Etats-Unis… Un article relate un déplacement historique à Vladikavkaz sous l'ère Evans. Un article loue les progrès effectués par Henderson, qui pourrait devenir un joueur de club versatile à la Pablo Zabaleta tandis que, dans une deuxième partie, il revient sur l'échec de Nigel Clough sur les bords de la Mersey… The Lemon Drop Kid nous replonge dans l'année 1963 tant du point de vue musical que footballistique. Des articles commencent à revenir sur le bilan de la saison et les transferts à attendre. En dernière page, une photo du Rush bar et de la fameuse bannière de la French Branch !!!!
  2. Le dernier RAOTL est sorti et pour la première fois, outre sa version papier, en e-fanzine. The latest digital version of the Liverpool FC Fanzine RED ALL OVER THE LAND is now available online and can be purchased by visiting www.magzter.com. If you are not a Liverpool supporter I apologise for sending this email to you but maybe you could forward it to somebody who does follow Liverpool FC. If you are a Liverpool supporter please forward the email to as many Reds as possible – WE NEED TO SPREAD THE WORD RED ALL OVER THE LAND is a totally independent publication put together by LIVERPOOL fans for LIVERPOOL fans. We are attempting a digital publication and all that we ask is that you forward this to your membership. If your supporter’s club/organisation would like a mention or you want to publicise any functions that you hold just drop an email to redallovertheland@gmail.com and we’ll fit you into the digital version. If you purchase a copy it would help the Fanzine immensely and the cost is £1.36p sterling! Coming shortly will be the much acclaimed ‘OUR ROAD TO ISTANBUL’ – the digital version of the pictorial album put together after the 2005 triumph with a few new additions. Finally we are in the process of putting together a retrospective LIVERPOOL magazine, which will be all about the long history of our football club. Why not get involved and send in your memories of great matches or your old photographs etc? RED ALL OVER THE LAND the digital version can be purchased on the following: ANDROID; IOS; AMAZON; APPSTORE AND THE WEB If you wish to receive a copy of the printed version, just get in touch by emailing; redallovertheland@gmail.com Regards John Pearman Editor of RED ALL OVER THE LAND
  3. Well Red n°19 B. Rodgers en couverture . Un article revient sur le prix des billets qui augmente en moyenne de 10% à Anfield. Il est d'autant plus regrettable de constater que les clubs mancuniens ou Everton continuent d'offrir certains de leurs billets à des prix plus abordables (un abonnement annuel à City serait vendu à moins de 300 livres). La comparaison avec les autres championnats n'est pas non plus en faveur de l'Angleterre où les meilleurs prix pour un billet ou un abonnement annuel sont à 30/470 livres contre 10/210 en Allemagne, 14/165 en Italie et 25/230 en Espagne. Dans le manifeste de Spirit of Shankly également publié, il est rappelé que le prix des billets a augmenté de 716% depuis 1989…. . Un article sur Owen relate un de ses citations dans laquelle il indique qu'il aurait eu plus de titres s'il avait signé dans les équipes de jeunes de Manchester United. Et dire que certains s'interrogent encore pourquoi il n'est pas considéré comme une légende à Liverpool… . Un article historique revient sur la saison 1938 où Shankly en tant que joueur remporte la coupe d'angleterre avec Preston… . Un article intéressant sur les talents de recruteur de Souness avec un photo-montage édifiant rappelant les recrues : Piechnik, Dicks, Ruddock, James, Clough et parallèlement les "vidés" Beardsley, Mc Mahon, Houghton, Staunton, Gillespie… . Un article s'interroge sur les raisons pour lesquelles si peu de londoniens ont réussi chez les Reds. Simon hugues, dans son ouvrage Secret diary of a Liverpool Scout, rappelait que Shankly recherchait des joueurs avec un "héritage du Nord de l'Angleterre"… Quelques succès comme Paul Walsh ou Mark Walters sont à signaler avec par contre un lot de déceptions (J. Cole ou P. Konchesky). . Deux articles sont consacrés à des "cult heroes" : Momo Sissoko et "Mad" Erik Meijer, surnommé en Hollande le boucher en raison de la profession de son père. Ce joueur généreux a même été international hollandais (une fois) et membre de la ligne d'attaque du PSV Eindhoven au côté de Ronaldo après avoir éclos à Maastricht. Il est le président (d'honneur) d'AFC Liverpool et consultant sur Sky Germany : Un vrai Red en résumé…
  4. The Liverpool Way n°87 Lucas en couverture Comme à l'accoutumée, un excellent numéro de TLW (il y a vraiment Dave Usher et les autres dans le monde des fanzines sur LFC : si IciAnfield arrivait à le convaincre de venir sur Paris… ) Dans son édito, Dave fait une comparaison éclairante avec le Liverpool de Roy Evans, qui produisait un très bon football d'attaque mais était aussi fort inconstant… Dans le diary, un résumé de notre saison (nous jouons bien mais comment nous n'avons pas pu gagner ?) en opposé avec les Mancs (ils ne jouent pas bien mais ils gagnent)… Deux articles en hommage à la légende Carragher et son approche "do or die". L'un rappelle la fameuse banderole "He put Nedved to bed and kept Eidur down now Shevchenko can't sleep cos Carra's in town" Un article intéressant, face aux difficultés d'élaboration d'un nouveau stade, propose de réintroduire des "terraces", à l'instar de Dortmund et son mur jaune, ce qui permettrait peut-être de mettre un peu plus d'ambiance à Anfield… Deux très bons articles sur la difficulté à faire éclore des jeunes en équipe première : - le premier revient sur les réformes de Benitez et Mc Parland poursuivis par Comolli qui ont conduit au recrutement de 38 jeunes de moins de 18 ans sur les trois dernières années sur le modèle de la Mesia ajoutant annuellement deux talents britanniques pour les moins de 16 ans et deux talents mondiaux pour les moins de 18 ans… En 2012/13 avec le départ de Pep Segura, cette politique s'est tarie avec uniquement la signature de Yesil. Il est aussi compliqué d'articuler cette politique avec les besoins de l'équipe première, où soit les jeunes joueurs sont bloqués dans leur développement par des pros en disgrâce (Degen, Jovanovic…) ou au contraire, comme cette année, sur-sollicités, ce qui peut aussi contrarier leur progression (cf. Sterling) - Dans un deuxième article, Dave Usher revient sur la politique de prêt qui n'est pas satisfaisante, contrairement à MU, qui prête ses jeunes joueurs pour qu'ils s'aguerrissent et puissent prétendre à leur retour à une place en équipe première : Dave serait ainsi enclin à prêter l'année prochaine Sterling, Suso, Wisdow, Morgan, Coady, Flanagan, Robinson et Coates. Pas sûr que Brendan Rodgers soit totalement d'accord cependant… Le XI du numéro est consacré aux joueurs "sous-estimés" : Friedel dans les buts, Arbeloa, Scales et Gillespie en défense centrale, Staunton (pour son 1er passage), Craig Johnston (un des joueurs préférés de Dave), Jimmy Case, John Wark, Whelan, Baros et Paul Walsh (son idole de jeunesse). Le débat porte enfin sur ce qu'on peut attendre de la fin de saison essentiellement de la régularité et des victoires (un contributeur prévoit d'ailleurs une victoire contre les Spurs et une défaite à Southampton…). Une autre demande est aussi de commencer à tester une nouvelle charnière centrale pour l'année prochaine… Bref, si vous avez qu'un fanzine à lire, précipitez-vous sur TLW…
  5. Anfield Roar n°9 : L. Suarez en couverture - un article visant à défendre la candidature de Luis Suarez comme meilleur joueur de l'année - un article en défense de Joe Allen, rappelant notamment les débuts difficiles de Lucas / un autre article loue les progrès d'Henderson - un article revient sur le prix des billets avec une comparaison peu flatteuse par rapport à nos voisins de Goodison : 427 £ pour les blues / 710 £ pour les Reds comme abonnement le moins cher - un article recense des sites où on peut trouver de l'info sur les Reds : Liverpool Echo, VitalFootball, LFCtalk, IloveLiverpool.org, Liverpool the offside.com, This is Anfield... - les pronostics, comme à l'habitude, ne prévoient que des victoires pour les Reds en Avril - des articles plus historiques sur la saison 1983-84 et la carrière d'Ian Rush - Enfin, un article revient sur la carrière d'Owen A lire donc toujours en accès gratuit
  6. La psychologie du supporter est quand même étonnante : Pourquoi "booer", comme dimanche à Villa Park, un joueur vendu à un prix supérieur à son niveau et à son rendement ?
  7. Tales from the lids n°2 Magazine dépassant largement l'angle footballistique et présentant la culture de la Merseyside En conséquence, des articles avec une ambition littéraire évidente en lien plus ou moins avec le foot Interview de Phil Jones co-fondateur du fanzine "historique" The End Un article consacré à un hat-trick de Rush contre Everton rappelle une compétition oubliée The Screen Sport Super Cup, compétition entre clubs "européens" anglais suite au bannissement du à la tragédie du Heysel Un poème à l'attention du King Bref, une revue sophistiquée rappelant, par certains aspects, TTWR : Un peu compliqué si on n'est pas agrégé d'anglais...
  8. Anfield Roar n°8 "Talking tactics" . Un débat "tactique" sans arguments très percutants centré sur le rôle de Lucas et le besoin d'impact physique . Une présentation utile du parcours des principaux membres du staff . Un portrait de Coutinho . Des nouvelles des prêtés avec peu d'espoir de revoir Carroll ou Spearing sous un maillot rouge au contraire de D. Pacheco ou J. Wilson . Une des rubriques les plus intéressantes : la revue mensuelle non seulement de l'équipe première mais des matchs de l'Academy . Un billet historique avec les débuts de Tom Watson comme manager en 1896 Un contenu qui reste trop descriptif mais, outre sa gratuité, permet de se rappeler des faits saillants du mois passé...
  9. RAOTL sort en version dématérialisée : Could you please forward this to as many Liverpool Fans as possible. If you support another club I bet yo still know a few Liverpool fans? If you run a website, please put up a link. If you run a supporters club please notify your membership. If you're from the football club please circulate it. RED ALL OVER THE LAND THE LIVERPOOL FANZINE DIGITAL VERSION Now available at www.magzter.com Easy to order and easy to read COMING SOON THE LIVERPUDLIAN A RETROSPECTIVE LIVERPOOL FC MAGAIZNE OUR ROAD TO ISTANBUL REMEMBER THE GREAT DAYS OF 2005 RE-LIVE THE MEMORIES ONCE MORE AS LIVERPOOL SUPPORTERS WENT FROM GRAZ TO ISTANBUL Apologies if you receive more than one email - I'm just trying to spread thmessage Regards JJP Editor of Red All Over The Land
  10. Le bilan annuel des finances du club reprend les indemnités de licenciement versés au King et à son staff, contrairement à certaines rumeurs reprises en mai dernier... Ce n'est donc qu'un homme
  11. En me baladant autour de Goodison, qu'Everton a eu la bonne idée d'agrémenter de panneaux didactiques sur l'histoire du club, on peut apprendre que Liverpool et Everton partagaient un programme de match commun de 1904 à 1935... Un prélude au partage du stade (aucune avancée pour les deux clubs n'étant perceptible depuis vingt ans...) ?
  12. Rush The Autobiography Même si l'autobiographie du plus célèbre attaquant gallois (n'en déplaise à Mark Hughes ou Gareth Bale…) se révèle un peu trop "sage" (femme merveilleuse, admonestation paternelle suite à un vol dans un magasin avec d'autres adolescents, absence de "piques" envers d'autres joueurs ou managers à l'exception de Mark Lawrenson…) et descriptive, respectant strictement la chronologie des différentes saisons, elle a néanmoins le mérite de nous replonger dans une époque relativement rafraîchissante où le football n'avait pas encore succombé à sa dérive commerciale : - les écharpes constituaient le seul signe de ralliement et de soutien ostensible à un club, - les effectifs des clubs étaient resserrés : Pour les 75 matchs de la saison 1983-84, seuls quinze joueurs ont été ainsi utilisés par LFC, - les sponsors-maillots étaient souvent proscrits lors des rares retransmissions télévisées (sic), - le contrat de diffusion des matchs télévisés signé par la ligue avec ITV ne lui rapportait, dans les années 80, annuellement que 11 M£ soit à peine le salaire annuel actuel d'un "top-player", - la prime de victoire pour un succès en coupe de la ligue s'élevait à 850 £. Les germes de cette "marchandisation" du football sont pourtant perceptibles dans l'ouvrage. Rush date, par exemple, du transfert de Souness à la Sampdoria la bascule du rapport de force entre le manager, qui décidait avant qui quittait ou non Liverpool, et les joueurs et leurs agents. En écho à l'arrêt Bosman, il souligne également que le Liverpool de 1985-86, qui avait remporté le doublé, ne contenait pas un seul joueur anglais (seul Mark Lawrenson était né à Preston mais d'un père irlandais) avec certes, en comparaison des années 2000, un large noyau issu des îles britanniques… L'autobiographie de Rush permet surtout de revivre une période footballistique où Liverpool était incontestablement la meilleure d'équipe d'Angleterre et sûrement d'Europe. A titre d'anecdote illustrant cette domination, de 1980 à 1987, Liverpool n’a jamais perdu un match où Ian Rush avait marqué (ce qui arrivait assez souvent…). Cette fabuleuse série de 145 matchs s'est malheureusement interrompue avec la défaite contre Arsenal lors de la finale de la coupe de la ligue. D'une manière générale, les joueurs de Liverpool, confiants dans leurs propres qualités même après des débuts de saison ratés, ne pensent jamais à leurs adversaires et procèdent régulièrement à des remontées fantastiques pour finir a minima dans le top two, agrémenté d'une ou deux coupes… Rush a pu bénéficier évidemment des conseils du légendaire "Boot Room". A son arrivée, Ronnie Moran l'accueille par ce judicieux conseil : « Tu rejoins le meilleur club au monde, fils. Joueurs, management, directeurs et les dizaines de milliers de supporters, nous sommes simplement une grande famille heureuse. Semblable à la tienne qui est plus petite ». Bob Paisley contribuera à façonner ses qualités de grand buteur en lui rappelant que « les deux ou trois yards (nécessaires au buteur) sont dans ta tête »…A propos de Paisley, Rush rapporte également un propos amusant d'Alan Hansen « Il est si modeste qu’il se citerait uniquement deux fois dans son autobiographie ». Sa fin de carrière coïncidera malheureusement avec le déclin du grand Liverpool, les supporters de Bristol résumant ce sentiment par un chant cruel "Liverpool, Liverpool, used to be good, used to be good"… Rush, nommé capitaine avant la saison 1993-94, fait aussi le constat de la dégradation progressive de l'ambiance dans le Kop avec la fin des terrasses et des ses fabuleuses vagues humaines. Une autre illustration de cette décrépitude de la Liverpool Way sera aussi Souness obligeant Barnes à présenter ses excuses dans le programme officiel du match, suite à des critiques formulées à son encontre dans la presse… Comme beaucoup de grands joueurs de LFC, Ian Rush supportait Everton dans sa jeunesse, au contraire de son paternel fidèle supporter des reds, tout simplement parce que les toffees étaient l'équipe qui avait le plus de succès sur les rives de la Mersey à l'époque…Il rapporte également une anecdote amusante racontée par le capitaine des blues en 1966. La princesse Margaret demande à ce dernier, lors de la finale de la Cup en 1966, où se situe exactement Everton et une fois le renseignement pris, se souvenant de la finale de l'année précédente remportée par Liverpool contre Leeds , lui rétorque : "Ah oui, nous avions votre équipe-première l'année dernière". Shankly a vraisemblablement adoré cette réplique… Au contraire d'Everton, le Gallois a eu plus de difficultés contre le rival mancunien qui l'avait d'ailleurs repéré quand il était un jeune joueur prometteur à Chester (on apprend aussi que Keegan aurait été en contacts avancés avec les Reds Devils lors de son retour en Angleterre avant de choisir Southampton). Rush revient aussi sur son année à la Juventus. Les clubs italiens cherchaient à le recruter depuis longtemps (offre de Naples à 4,5 M£ en 1984 avant de prendre Maradona, de la Roma à 4,5 M£ en 1985 et donc de la Juve à 3,2 M£ préférée à l'option barcelonaise à 4,3 M£). La perte de ressources due au bannissement des compétitions européennes a conduit le board de LFC à vendre le joueur quasiment contre son gré : il sera d'ailleurs prêté pendant un an à Liverpool avant d'attendre que la 2ème place de joueur étranger se libère à la retraite de Michel Platini, avec lequel d'ailleurs il entretient les meilleures relations suite à une victoire du Pays de Galles contre la France à Toulouse avant la coupe de monde de 1982. Son passage à la Juve ne restera pas un bon souvenir faute d'un milieu de terrain pourvoyeur de bons ballons (il marquera quand même 14 buts dont 7 en coupes) et d'une bonne ambiance dans le vestiaire (à l'opposé de la relation d'amitié développée avec certains supporters de la Vieille dame avec qui il buvait le café…). La fin de sa carrière à Liverpool coïncidera avec le début du déclin des Reds. Il n'est, à ce titre, pas trop sévère avec son ex-coéquipier Graeme Souness, qui, pour lui, a voulu faire trop de changements (légitimes au regard des standards du football moderne) en peu de temps, comme le prouvaient les nouveaux visages (et notamment l'ineffable I. Kosma venant de Bordeaux) croisés régulièrement dans les vestiaires… Fidèle à un seul club une grande partie de sa carrière, Rush bourlinguera à la fin de celle-ci à Leeds (avec des perspectives managériales avant le licenciement d'Howard), Newcastle (sous les ordres de Dalglish pour faire face à la blessure de Shearer) et même en Australie où il finira définitivement son périple de footballeur à Sydney en 1999-2000. Sa tentative de reconversion dans la sphère managériale rencontrera moins de succès. Une proposition de travailler avec Rafa Benitez lui est formulée mais Alex Miller fut finalement choisi. Auparavant, il a été, quelques mois, entraîneur des attaquants sous Houllier, sur le compte duquel il ne tarit pas d'éloges. Il aura aussi une courte expérience de coach à Chester, son club d'origine. Comme il le résume de manière humoristique, la différence entre un coach et un manager est que le coach ne remporte pas autant de matchs de golf contre les joueurs dont il a la charge… Même si cette autobiographie manque d'aspérités et d'anecdotes "vachardes", on apprend néanmoins qu'outre un fameux pub parisien (à vérifier néanmoins…), Ian Rush a un groupe (non pas canadien mais gallois indépendant) à son nom. De même, il apparaît qu'il est un grand fan de Bowie, qu'il cherchait à singer dans sa jeunesse sauf pour sa bisexualité…. Rush scored one, Rush scored two...
  13. BOSS n°13 Octobre 2012 Fanzine plus éclectique puisqu'il embrasse diverses actualités liées à la ville de Liverpool notamment musicales et pas uniquement en lien avec le foot… La lecture d'un nouveau magazine STAND (against modern football) est recommandée (www.standamf.tumblr.com/)/ Un article revient sur les implications du panel concernant Hillsborough et rappelle que 164 documents ont été falsifiés par la police elle-même. Il compare d'ailleurs justement ce drame à une tragédie aérienne dont les survivants seraient accusés… Un article décrit les deux tribus rouge et bleue composant Liverpool et appelle à un modèle apaisé à la milanaise… Un billet humoristique sur les grandes étapes de la vie d'un supporter : Je m'aperçois d'ailleurs que je suis dans la phase du "génial tacticien" qui connaît toutes les finesses du jeu et que je vais passer dans quelques années dans la période "tout était beaucoup mieux de mon temps" (il est vrai que, dans ma jeunesse, les Reds étaient régulièrement champions d'angleterre…) Des comptes-rendus de concerts dont Shellsuit au Zanzibar et le Sound island Festival Deux articles reviennent sur les mérites respectifs du sud et du nord de Liverpool notamment au niveau des parcs (on y apprend notamment que Skrtel promènerait son chien régulièrement à Stanley Park). Un encart reprend les 50 habits à ne pas porter à Liverpool dont le LFC Warrior gear… En conclusion, une lecture rafraîchissante et à prix modique (1 £) mais un fanzine assez dur à trouver hormis à la boutique magique du 351 Walton Breck Road…
  14. RAOTL se dématérialise !!! Un nouveau mag rétro "The Liverpudian" en cours d'élaboration Hi The Liverpool Fanzine ‘RED ALL OVER THE LAND’ is now available in digital format and can be purchased on the following. Android, IOS, Amazon Appstore and the web and the link is: http://www.magzter.com/GB/red-all-over-the-land/Red-All-Over-The-Land/Sports/15665 All that I ask is that you pass this information on to other Reds. Fanzines are an alternative to the official publications. We need your help to ensure they survive. If we can sell a few extra copies via this method then we can develop this further. Please respond to Redallovertheland@gmail.com Further details will be on our website at www.redallovertheland.com over the next few days. Coming soon: The Liverpudlian - A Retro Mag all about Liverpool FC also in digital format. If you have received more than one copy of this email I do aplogise. Regards John Pearman Editor Red All Over The Land
  15. Une bonne adresse à signaler pour ceux qui aiment les fanzines : la boutique "indépendante" située 371 Walton Breck Road (à 5 mn du stade) On y trouve les derniers exemplaires de RAOTL, Well Red et Boss... De plus, boutique officielle de SOS et beaucoup moins de monde que dans les magasins du club...
  16. Rafa, pardonne-leurs, ils ne te méritaient pas !!! Ai-je bien entendu pendant le match contre Wigan un chant en son honneur suivi d'un bon vieux "F*** off, Chelsea you've got no history !!!"
  17. RAOTL n°184 "Can the SAS (Suarez/Sturridge) save our season ?" en couverture Dans son édito, JJP critique la composition de B. Rodgers pour le match contre Oldham en Cup, cette dernière méritant plus de respect selon lui. Plusieurs articles reviennent d’ailleurs sur cette élimination en Cup fort mal ressentie par la communauté Reds. L'article-phare de ce numéro est bien évidemment le compte-rendu de son périple parisien où la French Branch, et surtout un de ses plus éminents membres Arnaud est à l'honneur. JJP indique ainsi avoir eu le privilège de voir le match contre MU au Rush Bar avec certains des plus passionnés supporters de Liverpool qu'il ait pu rencontrés, même si le prix d’une bière à Paris a pu l’effaroucher…Le savoir encyclopédique d'Arnaud sur Liverpool est, en tout cas, aussi apprécié que son plateau de fromages… Une bien belle publicité donc pour la French Branch, complétée par la reprise de « l'article-collector » de « Roger Milla » sur sa découverte du peuple rouge lors de la finale de C1 à Paris contre le Real. Un autre article revient sur la campagne que lance Spirit of Shankly pour lutter contre l'inflation croissante des prix des places pour les supporters away et revendiquer un prix forfaitaire de 25 £ au regard notamment des ressources procurées par le nouveau contrat TV aux clubs … La sortie d'un nouveau magazine généraliste, proche de l'esprit fanzine, "Late tackle" est signalée et sa lecture vivement conseillée pour ceux qui tomberaient sur un exemplaire. Un autre article relate l'historique des programmes du club. Il fallut attendre les années 80 pour que les programmes retrouvent le format étoffé connu avant-guerre…Certains programmes très rares (comme la saison 1939 interrompue par la deuxième guerre mondiale) peuvent monter jusqu'à 200 £…
  18. RAOTL n°183 Shankly en couverture "Get back to basics" Un bon numéro de RAOTL où John Pearman, outre son soutien réaffirmé à B. Rodgers, relate sa venue à Paris et au Rush Bar et remercie particulièrement la French Branch (notamment Arnaud et Ant) pour son accueil. Un article plus critique de Kopaholic, a priori nostalgique de Rafa (je ne serai donc pas le seul ?) sur B. Rodgers instruisant un dossier à charge contre notre manager (gestion d’Andy Carroll, Downing comme arrière gauche, éclosion des jeunes mais recrutés par Rafa) avec la conclusion que nous sommes devenus désormais une équipe de milieu de tableau. Une citation pertinente également de Thommo pour qui Liverpool doit recruter des joueurs pour évoluer à la place à laquelle le club aspire et non celle qu’il occupe actuellement… Un article « historique » sur le légendaire Elisha Scott, gardien de but ayant débuté en 1913 et qui fut le premier à avoir une chanson à son nom "Lish, Lish, Lish". Il joua 468 matchs pour Liverpool et fut, pour la première et dernière fois dans l'histoire du club, à l’occasion de son dernier match, autorisé et ainsi honoré à pouvoir s'adresser à la foule d'Anfield depuis la loge des directeurs… Un article nostalgique et assez émouvant de John Pearman sur la création en 1995 de RAOTL : On y apprend notamment qu'il a « débuté » dans un fanzine consacré à Bob Dylan et que le football moderne complique grandement la vie de ce type de publications (les abonnements ne représentent plus que le cinquième de ceux réalisés à la grande époque) Des articles classiques et un peu répétitifs sur Suarez et le mercato hivernal (sensiblement les mêmes dans le n°184)… Enfin, le match de Cup contre Oldham permet de mettre en valeur le parcours de David Ashworth, manager de Liverpool à partir de 1919 avec qui il a d’ailleurs remporté le titre avant de quitter les Reds pour rejoindre Oldham, équipe de bas de tableau…
  19. D’ou vient ma passion pour LFC ? me demande-t-on souvent interrogatif. Il est pourtant difficile de répondre à une telle question spontanément. Le plus facile, étant né à Saint-Etienne, serait de se réfugier derrière le quart de finale de coupe d’europe des clubs champions entre Reds et verts en 1977. Malheureusement, je n’avais que quatre ans à l’époque et je dois bien reconnaître que mes premiers souvenirs footballistiques remontent plutôt au début des années 80 avec le dernier titre de champion de France de l’ASSE en 1981 (alors que, paradoxalement, je ne garde aucune trace de la finale de C1 à Paris contre le Real Madrid). Pourtant, d’une manière quasi-innée, j’avais pris rapidement l’habitude de me précipiter le lundi chez ma grand-mère dans le journal local « Le progrès » pour consulter la rubrique parfois intermittente retraçant les résultats du championnat anglais du Week-end. Plus rarement, on avait la chance de voir un but de Liverpool dans la séquence des buts étrangers de Stade 2 du dimanche soir (j’ai notamment le souvenir d’un but de John Wark contre Ipswich). Pour les plus jeunes, il fut, en effet, une époque où le flux d’information sportive, en l’absence d’Internet et des chaînes payantes, était beaucoup plus réduit et sporadique. J’ai, ainsi, appris le 16ème titre de champion des Reds grâce à un but du King Kenny à Stamford Bridge le lendemain dans l’Equipe…De même, le premier match télévisé des Reds a été, pour moi, la finale de la coupe d’europe des clubs champions à Rome contre la Roma tandis que la vision du premier match en intégral des Reds en championnat n’est intervenue qu’à la fin des années 80 avec une victoire contre Arsenal à Anfield grâce à deux buts de Beardsley. Ensuite, l’essor de Canal +, et notamment de l’équipe du dimanche, relayé ensuite par Internet, a évidemment favorisé ma soif d’information des Reds et accentué la passion, que la découverte progressive des valeurs entourant le club, n’a fait que conforter. Cet attachement, trois fois décennal, a enfin trouvé physiquement sa concrétisation par un voyage à Liverpool en 1999 pour assister au dernier match de la saison contre Wimbledon, qui fut également le dernier match de Steve Mac Manaman sous un maillot rouge. Depuis, j’ai pris la bonne habitude de me déplacer, au moins une fois par an, à Anfield. La chance de disposer un temps d’un PTS (priority ticket scheme) puis d’appartenir à la French Branch m’a également permis d’assister aux affrontements des Reds contre tous les membres de l’historique big 4 (1 victoire et 1 défaite contre Man U, 1 victoire et 1 défaite contre Arsenal mais 2 défaites contre Chelsea) ainsi qu’à deux derbys de la Mersey soldés par deux victoires et des matchs à Anfield contre Manchester City, les Spurs, les Magpies et évidemment d’autres équipes de moyen ou bas de tableau. La création d’une branche française, rejointe en 2004, m’a permis de constater que cette maladie rouge n’était pas honteuse mais, au contraire, partagée par de nombreux autres, qui peuvent voir aussi leur humeur altérée suivant les résultats des Reds le week-end précédent. Mon appartenance à la branche française m’a également permis de côtoyer l’ambiance du travelling Kop dans des aways plus ou moins glorieux (la victoire à Bernabeu ou le 4-4 contre Chelsea en 2009 mais également la neige de Bucarest, Utrecht, Liège, Naples, Eindhoven, Marseille, Lisbonne, Braga, Lille ou Udine). Au final, je ne reste pas beaucoup plus avancé sur l’origine de ma passion pour LFC. Je serai ainsi tenté de reprendre, à mon compte, la citation de Bill Shankly « Liverpool was made for me and I was made for Liverpool ».
  20. La saison de Liverpool s’est donc terminée dès la fin du mois de février : - l'équipe, en championnat, après un départ difficile justifié, en partie, par un calendrier compliqué, n'est jamais parvenu à côtoyer le top 4 ni même le top 6, en raison notamment de son incapacité récurrente à battre des équipes de haut de tableau. L'objectif d'une 6ème place devant nos voisins d'Everton est devenu le plus réaliste avec, si possible, un total de points dépassant ceux obtenus les années précédentes… - l'équipe a été sortie des différentes coupes où elle était engagée sans gloire, ni panache (à l’exception certes du match retour contre le Zenith) : Dire que l'année dernière un entraîneur, avec quelques références au club, a été remercié pour une 8ème place en championnat malgré une victoire en Carling Cup et une finale en Cup… Cette nouvelle saison de transition peut-elle cependant être utile ? - Tout d’abord, il convient, en préalable, au regard notamment de ce qu'il reste de la « Liverpool Way », d’écarter tout débat concernant un éventuel changement d’entraîneur : Un choix d'un entraîneur jeune et à potentiel a été fait par l’équipe dirigeante après trois changements de managers en trois ans, instabilité aux antipodes des valeurs du club et des facteurs de réussite dans le sport. Il n’a donc pas vocation à être remis en cause à court terme. - Néanmoins, une nouvelle fois, la campagne de recrutement n’a pas été fameuse, ce qui peut d’ailleurs expliquer notre décrochage par rapport à des équipes de niveau « économique » équivalent comme les Spurs : les recrues de l'été se sont révélées décevantes (sans évidemment revenir sur la tragi-comédie du 31 août nous laissant avec deux attaquants pour la saison) que ce soient Allen, après un bon début, Sahin déjà reparti, Assidi ou Borini, qui semble prendre la succession de Fabio Aurielo comme « injury-prone » joueur. Le mercato d’hiver semble plus prometteur même si les bons débuts de Sturridge méritent d’être confirmés sur la durée ainsi que le potentiel annoncé de Coutinho… - L’inquiétant reste le nombre de postes à renforcer lors du prochain mercato d’été en fonction de la méforme persistante de certains (Reina, Skrtel), la retraite d’autres (Carra) : Toute une colonne défensive (gardien, défenseur central, milieu récupérateur) est à reconstruire tandis qu’un renfort offensif ne serait pas superflu… - Des progrès dans le jeu sont signalés par des observateurs, impartiaux ou non, soulignant qu’un système de jeu assimilé par les joueurs se met progressivement en place et produit déjà des résultats performants notamment contre les équipes de milieu ou bas de tableau. Deux ou trois joueurs (et notamment un milieu récupérateur à la « Mascherano ») sont encore à attendre pour que le système de jeu souhaité par Brendan Rodgers puisse être définitivement mis en place et être en mesure de s’adapter aux configurations adverses. Reste donc à réussir notre mercato d’été, ce qui changerait par rapport aux trois précédentes éditions. - Le principal problème semble résider dans le manque de gouvernance apparent du club, ce qui peut d’ailleurs expliquer certains déboires rencontrés sur les marchés des transferts. Nos propriétaires américains, qui sont loin d’être des spécialistes du « soccer », étaient censés s’appuyer initialement sur un « director of football », dont les performances en terme de recrutement et surtout de « moneyball », lui ont valu d’être remercié en moins d’un an sans être toutefois remplacé. Le « comité des transferts », promis après la débâcle d’août 2012, semble se limiter aux scouts débauchés de Manchester City, qui ne paraissent pas disposer de la visibilité médiatique susceptible d’alléger la pression pesant sur les épaules de notre jeune manager.. Pour que cette (nouvelle) saison de transition se révèle utile et que le club soit en mesure d’être compétitif la saison prochaine avec les clubs de son standard économique (Tottenham, Arsenal voire Everton) et non ceux bénéficiant d’un dumping économique artificiel (City, Chelsea), que les règles du fair-play financier sont toutefois censées atténuer, ou qui ont particulièrement réussi le passage au football moderne (MU), la principale recrue à attendre ne devrait-elle pas être un profil à la « David Dein » plutôt qu’à la « David Villa » pour participer à la lutte pour cette fameuse 4ème place et réussir un parcours valorisant dans une coupe ?
  21. Donc on se retrouve, de nouveau, avec un seul attaquant si jamais on arrivait à passer un tour supplémentaire en Europe
  22. rafalabamba

    Bob Paisley

    Je pense qu'il sera protégé par la forte mobilité des managers sur la rive rouge de la Mersey (j'en viens à envier Everton voire MU)depuis trois ans... Qu'on soit content ou pas, in Brendan we should trust !!!
  23. Survolant rapidement à nouveau sa bio, Carra (p 288) précise que c'est le savoir défensif de Benitez qui l'a le plus impressionné. Benitez a eu le plus d'influence sur Carragher le défenseur central et lui a permis de passer le niveau supérieur au bon défenseur de PL. Il a obtenu le meilleur de lui en lui permettant d'être reconnu sur la scène européenne. Il reconnaît qu'il a joué le meilleur football de sa carrière sous Rafa. Chaque session d'entraînement lui a appris comment améliorer son jeu. Rafa étant un entraîneur plutôt défensif, ce sont les entraîneurs qui bénéficient le plus de ses conseils, d'autant que ce dernier apprécie l'attitude "agressive" de Carra... Rien de vraiment nouveau sur son lien avec Stevie G (meilleur joueur avec lequel il a joué, seul capable de faire basculer un match et de garder ce niveau sur une saison...).
  24. Well Red n°18 L. Suarez with diabolic intent en couverture Découverte donc, sur les conseils de différents forumeurs, de ce "magazine indépendant" (avec photos couleur) qui lorgne vers le fanzine. Le 1er article revient sur le manque d'expérience à tous les niveaux du club, tant dans l'équipe première, où quelques joueurs expérimentés seraient les bienvenus (comme le détaille d'ailleurs le dernier article), et surtout dans l'équipe dirigeante, qui a reconnu son ignorance en la matière (l'article a également le mérite de dévoiler la composition du fameux comité des transferts mis en place suite à la débandade de fin août composé des deux scouts débauchés de City Dave Fallows et Barry Hunter ainsi que de Michael Edwards, le chef des analystes). Différents articles sur les joueurs (Suarez, Sturridge, Downing…), celui sur Allen montrant la trajectoire inversée avec celle d'Henderson, où les qualités du début de saison deviennent désormais des faiblesses… Un article "tactique" intéressant rappelant la difficulté de Liverpool dès que l'équipe perd le ballon en l'absence d'un pressing efficace : L'importance de joueurs comme Kuyt, Mascherano ou Sissoko sous l'ère Benitez est notamment soulignée… Dans la série sur les Cult's zeroes, un article sur Stan "The Man" Collymore qui avait pour surnom "Brouillard dans le tunnel" en raison de sa propension à arriver en retard à l'entraînement… Un article salutaire appelant les supporters des Reds à quelques règles de bon sens comme arrêter de se chamailler avec d'autres Reds, d'être plus "scouse" et de ne pas vivre dans le passé en regrettant des entraîneurs comme Benitez ou Dalglish (pas toujours si facile)… Un article aussi instructif sur John Henry, qui montre bien que sa priorité va au Boston Red Soxs, qui connaisse une saison cataclysmique (93 défaites en 162 matchs). La nécessité de recruter un véritable chef exécutif, basé à Liverpool et ayant déjà occupé des fonctions similaires, est mise en exergue. Un article recensant les célébrations (normalement limitées) de buts contre leurs anciens clubs de joueurs de L'Pool.
  25. rafalabamba

    Samed Yesil

    C'est quand même surprenant de ne rien voir sur l'Offal : C'est quand même un joueur prometteur et une info plus intéressante que la 243ème déclaration d'un joueur pour dire que tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes...
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