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rafalabamba

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Tout ce qui a été posté par rafalabamba

  1. Après une recherche plus approfondie, l'ouvrage mentionné ci-dessus n'a pas été écrit en français mais traduit par nos amis des Swiss Liverbirds : Merci aux auteurs et aux traducteurs pour ce travail phénoménal consultable sur : http://www.liverpoolfc.ch/History/spec_hist_index.asp?chap=90 Pour info sur les auteurs : LES AUTEURSJeff Anderson est Responsable des Actualités et des Programmes à Granada Télévision ainsi que Producteur Exécutif de la série Tonight With Trevor Mc Donald sur ITV. Né à Kirkby, il assista à l’âge de six ans à son premier match de Liverpool passant la plus grande partie de ses vacances scolaires à la chasse aux autographes à Melwood. Il est toujours aujourd’hui un spectateur régulier à Anfield et a assisté à toutes les finales de Liverpool jouées sur sols Britanniques et Européens depuis 1974. Marié et père de quatre enfants, il vit actuellement à Wirral.Stephen Done est un fan de Liverpool depuis le jour où il vit Charlie George couché sur le dos et les jambes en l’air après avoir vaincu de courageux Rouges lors de la finale de la Coupe d’Angleterre de 1971. Il savait qu’il ne devait pas en être ainsi et était convaincu que Liverpool reviendrait pour gagner tous ce qu’il était possible de remporter. Stephen, formé aux beaux-arts, travaillait en tant que Photographe à Bristol et, par la suite, dans le Sud du Pays de Galles en tant que Conservateur de collections de beaux-arts, d’objets façonnés en charbon minier et, curieusement, de cravates de George Best, avant de se rendre à Liverpool et d’exercer la profession de ses rêves en tant que Conservateur du Musée du FC Liverpool et des archives à Anfield.The Official Liverpool FC Illustrated History est traduit et adapté de l’anglais par Pascal Humair, Président des Swiss Liverbirds (Membre Officiel de l’Association des Branches Internationales du FC Liverpool) - www.liverpoolfc.ch
  2. A l’occasion d’une recherche sur Internet, j’ai eu la chance de tomber sur le document que je recherchais depuis plusieurs années, c'est-à-dire une histoire du Liverpool Football Club en français. Malheureusement, le nom de l’auteur de cet ouvrage, préfacé par Gérard Houllier, ne figurait pas sur les fichiers PDF récupérés. Qu’il soit, en tout cas, remercié pour son travail très instructif et pédagogique. Quelques faits saillants peuvent être portés à l'attention des lecteurs intéressés, notamment sur la création du club. Contrairement à l'idée traditionnellement répandue, Liverpool était plutôt une ville de rugby au XIXème siècle. Les dockers ayant obtenu le droit à la semaine de 5 jours et demie, il fallut toutefois trouver une occupation pour le samedi après-midi… Everton, qui fut à l’origine de la création de LFC, suite à la brouille entre John Houlding et les membres du Board, était, à la fin du XIXème siècle, un club en avance sur son temps. Ce fut, en effet, le 1er club anglais à publier un programme de match et à utiliser des filets dans les cages… C'est William Barclay, ami de John Houlding, qui trouva, suite à la scission avec Everton, le nom du Liverpool Football Club, qui fut officiellement créé le 15 mars 1892. Le nom étant déjà emprunté par la principale union de rugby de la ville, John Houlding accepta d’y adjoindre le terme association afin d’éviter toute confusion dans l'esprit des scousers… Le 1er match à Anfield fut un match amical le 1er septembre 1892 contre l'équipe de Rothertham Town appartenant à la ligue de Midland. Il se conclut par une victoire de 7 buts à 1 des Reds, qui évoluaient, à l'époque, avec un maillot bleu et blanc… Le premier derby de la Mersey eut lieu, quant à lui, le samedi 22 avril 1893 au Bootle Football Club à l'occasion de la coupe Senior de Liverpool. Il fut remporté par les « futurs » Reds 1-0… La promotion en première ligue fut obtenue lors de la saison 1893-94 contre le dernier de la division, Newton Heath, club qui allait devenir plus tard Manchester United…Malheureusement, après une saison difficile avec seulement 7 victoires en 30 matchs, l’équipe fut reléguée dès l’année suivante. Cet échec poussa le board à investir dans de nouveaux joueurs qui assurèrent la remontée lors de la saison 1895-96 avec un record inégalé jusqu'à nos jours de 106 buts et quelques « démolitions » des équipes adverses : 7-0 à l'extérieur contre Crewe ou 10-1 à domicile face à Rothertham Town… Le 1er manager mythique sur les bords de la Mersey fut Tom Watson, recruté de Sunderland et qui resta 19 ans au chevet des Reds, leur assurant leur 1er titre de champion en 1898-99 (qu’il compléta d’un autre titre et d’une finale de Cup). Il reste, à ce titre et jusqu’à nos jours, le manager dont la longévité fut la plus étendue sur les bancs de LFC…Pour l’aider dans cette tâche, il bénéficia de l’apport d’un des meilleurs défenseurs centraux de l’époque, Alex Raisbeck, capitaine de l'équipe d'Ecosse, qui étrenna une nouvelle tenue rouge et blanc… Après les succès du début du XXème siècle, les Reds, orphelins de John Houlding disparu le 17 mars 1902, revinrent à un certain anonymat en raison notamment de l’introduction d’un salary-cap de 4 £ par semaine (alors que Liverpool avait l’habitude de payer ses joueurs 10 £ avec des bonus) ne permettant plus d’attirer les joueurs prometteurs sur les bords de la Mersey... Malgré ces déboires sportifs, le club rencontrait un certain succès auprès des policiers. 25% des actionnaires du club en 1914 étaient, en effet, des agents de police locaux… La malédiction de la coupe d’Angleterre commença également à cette période avec une finale perdue contre Burnley 1-0 en 1914. Elle donna corps à la vielle plaisanterie du Scouser, qui économise pour le jour où son équipe gagnera la coupe et mourra millionnaire… Moins réjouissant, un match arrangé entre MU et Liverpool fit scandale durant la saison 1914-15… Les supporters des Reds purent se consoler avec un buteur d'exception, dans les années 20, Gordon Hodgson qui totalisa 232 buts en 359 apparitions et 17 coups de chapeau soit le record pour un attaquant du club. L'histoire du club est plus connue ensuite. Après la seconde guerre mondiale, le club connut une décennie de déclin avec notamment un entraîneur assez imprévisible Don Welsh, qui célébrait les victoires de LFC en faisant la roue dans les vestiaires… Billy Liddell, que beaucoup considèrent encore aujourd'hui comme le plus grand joueur du club, apporta néanmoins, dans cette période difficile, de grandes joies aux supporters des Reds. Outre ses qualités footballistiques exceptionnelles, Billy était un homme exemplaire dans la « vraie vie ». Il refusa ainsi une offre lucrative de Bogota après la défaite en coupe de 1950 alors que le club commençait son déclin. « Liddellpool » était véritablement un homme à part, qui soutenait les œuvres de charité tout en travaillant comme comptable dans la journée. Son intégrité et sa sportivité lui valaient des ovations de la part des supporters adverses. Il décéda en 2001 des suites d'une longue maladie tout en étant resté, jusqu’à la fin, un spectateur assidu à Anfield. Liverpool entra ensuite dans l’ère du succès avec Bill Shankly puis Bob Paisley. Comme le résume Phil Thompson, « être supporter en ce temps-là consistait à croire que ce que disait Shanks allait se réaliser »…Wembley fut aussi rebaptisé Anfield Sud sous Paisley. Avant le Heysel et Hillsborough, une catastrophe fut aussi évitée de peu à l'occasion d'une demi-finale de Milk Cup contre Walsall. L’ère du déclin peut être datée du 22 février 1991, date du départ de Dalglish. La plupart des fans et la majorité des joueurs espéraient qu'Alan Hansen prenne la suite mais il souhaitait alors s'éloigner du monde du foot, laissant la place à Souness, qui, comme le constate John Barnes, s’est peut-être surestimé comme manager (« cela peut prendre toute une saison pour qu'un joueur s'acclimate alors imaginez cinq ou six »…). Liverpool entra ensuite dans l’ère du foot-business où Shankly et Paisley auraient sûrement rencontré des difficultés face aux salaires de millionnaires des joueurs et l'influence grandissante de leurs agents… A travers ce bref survol, la richesse de l’histoire du Liverpool Football Club est confirmée. Nous pourrons nous y attarder plus précisément dans de prochains articles sur des périodes précises.
  3. Dans une période où les campagnes de transferts se soldent par des investissements faramineux voire indécents et souvent des échecs retentissants, il est rafraîchissant de se plonger dans l’ouvrage que consacre Simon Hughes à Geoff Twentyman, en charge du recrutement à Liverpool de Shankly à Dalglish et, de fait, à l’origine des venues de Hansen (qui rédige la préface), Rush, Keegan, Clemence, Mc Dermott, Neal, Kennedy, Heighway ou Nicol… Pour caractériser l’influence de Twentyman sur les succès du club dans cette période dorée, il convient de rappeler que ce génial scout conseilla le recrutement de neuf joueurs sur les seize, qui composèrent l’équipe lors de la finale victorieuse de la C1 contre la Roma en 1984. Durant ces dix-neuf saisons en tant que responsable du recrutement, Liverpool remporta 29 titres auxquels Twentyman ne fut pas totalement étranger… Twentyman commença sa carrière en tant que joueur dans les années 50 : Il joua 184 matchs et marqua 19 buts pour Liverpool puis devint manager-joueur à Ballymena. Il fut ensuite recruté par Shankly comme chef scout avec pour mission de faire de Liverpool un club à succès avec le moins d’argent possible… Ses critères de recrutement (qu’il consigne dans un carnet qui fait l'objet de fil rouge de l’ouvrage) restent assez simples : - Ne pas observer deux fois un joueur qui ne peut taper dans la balle correctement ; - Privilégier les joueurs du Nord et notamment les Ecossais, qui, selon lui, partagent un certain nombre de caractéristiques avec les scousers ; - Suivre des joueurs inconnus venant des divisions inférieures plutôt que des grands noms, qu’il observe dans les tribunes avec les supporters, - Attendre que les jeunes joueurs acquièrent un peu d’expérience : Ainsi, Alan Hansen fut acheté à Partick Thistle six ans après un premier essai infructueux à Liverpool. Bien évidemment, Twentyman laissa passer quelques « pépites ». Ce fut le cas avec Kevin Sheedy qui, blessé et concurrencé par Ronnie Whelan, fut un échec à LFC alors qu’il contribua au succès des Toffees dans les 80’s. Le fait d’avoir sous-estimé le potentiel de Gary Lineker, à un moment où la concurrence entre les deux clubs de la Mersey était au firmament, coûta plus ou moins sa place à Twentyman en 1986 même si Dalglish, dans sa première année de manager, lui demanda d’observer les équipes adverses. Souness profita de l’occasion et le recruta au Glasgow Rangers, où il resta trois ans. Curieusement, il ne le reprit pas quand il prit la tête de Liverpool en 1991, ce qui aurait pu éviter quelques transferts catastrophiques… Les entretiens réalisés par Simon Hughes avec les joueurs observés par Twentyman permettent également de bénéficier de différentes anecdotes : - David Fairclough a failli jouer en France à Quimper (il avait également des touches avec Bastia et Gueugnon) ; - La rivalité entre Liverpool et Manchester United fut, un temps, plus saine selon Martin Buchan, joueur à MU mais scouté par Twentyman comme le témoignaient l’amitié entre Busby et Shankly ou les conversations entre Shankly et le milieu mancunien Paddy Crerand (qui allait voir les Reds quand MU ne jouait pas…) ; - Suite aux débuts difficiles d’Alan Kennedy après un investissement conséquent pour l’époque, Bob Paisley fit remarquer ironiquement « je pense qu’ils ont abattu le mauvais Kennedy » ; - Bob Paisley encore avait donné consigne à Twentyman de rechercher le genre de joueurs qui tentera de faire un petit pont à Kevin Keegan dans un match d’entraînement tout en se tenant respectueusement derrière lui dans le corridor. Le travail de Twentyman fut donc exceptionnel dans un contexte certes facilité par l’attraction de LFC, qui n’était pas à l’époque un club vendeur (hormis pour Keegan et Rush). La concurrence entre les clubs est désormais plus importante et le périmètre de recherche des joueurs est étendu au monde entier. En revanche, les scouts bénéficient de moyens de communication étendus alors que Twentyman devait se déplacer sur les terrains pour observer les joueurs. Comme le conclut Carragher, « il n’y a pas assez de gens comme Bill Shankly, Bob Paisley, Joe Fagan ou Geoff Twentyman dans le football de nos jours ». On peut regretter, à cette occasion, que Twentyman, qui souffrit, comme Paisley, de la maladie d’Alzenheimer, ne fut jamais honoré d’un match testimonial à Anfield pour le remercier de ses recrutements au rapport qualité/prix incomparable…
  4. rafalabamba

    Gerry Byrne

    Au moment où Liverpool s'apprête à disputer une nouvelle finale de coupe, il est bon de se souvenir d'un de ses glorieux serviteurs Gerry Byrne, malheureusement disparu à la fin de l'année dernière, l'arrière gauche des Reds qui joua la finale de la Cup (et sa prolongation) avec une clavicule cassée dès la 3ème minute. Il est vrai qu'en ces temps-là, aucun remplacement n'était permis... Né à Liverpool et ayant joué toute sa carrière pour LFC, qu'il rejoint à 15 ans en 1953, Shankly disait de lui que « le meilleur professionnel que j'ai eu sous mes ordres fut Gerry Byrne : Un vrai Liverpuldian qui ne pouvait regarder un scouser dans les yeux après un match sans avoir tout donné pendant 90 minutes ». Surnommé « Crunch » ie « le croqueur », il avait une réputation de tacleur, dur sur l’homme mais propre dans ses interventions : Il ne fut d’ailleurs jamais expulsé durant sa carrière professionnelle. Au jeune Tommy Smith, qui avait fait un petit pont à Gerry Byrne, récompensé d’un coup de tête de ce dernier lors du contact suivant, Shankly avertit son joueur « Leçon numéro 1 : Ne pense pas que tu vas faire un petit pont à Gerry Byrne et pouvoir t’échapper…». Gerry Byrne connut des débuts difficiles en 1957 avec une lourde défaite à Charlton par 5 buts à 1 (avec un but contre son camp) et resta jusqu’en 1959 le remplaçant de Ronnie Moran. C'est Shankly qui lui donna véritablement sa chance en faisant de lui un titulaire indiscutable, avec Chris Lawler sur le côté opposé, alors qu'il avait été placé initialement sur la liste des transferts. Il remporta deux titres en 1964 et 1966 jusqu'à sa retraite en avril 1969 suite à une blessure au genou disputant 333 matchs sous le maillot rouge. Il rentra dans la légende des Reds à l'occasion de la finale de la Cup en 1965 contre Leeds où son courage de jouer avec une clavicule cassée, suite à un contact sévère avec le capitaine de Leeds Bobby Collins en début de partie, fut salué par tous (et incita vraisemblablement la FA à autoriser les remplacements). Il trouva même la force de centrer pour l'ouverture du score des Reds lors de la prolongation. Il dit simplement, après le match, que « Shankly n'aimait pas les blessures ». Il joua, de manière similaire, avec une épaule disloquée lors d’un match de coupe d’europe contre le Celtic en 1966 ce qui ne l’empêcha pas d’être présent pour le match du week-end en championnat…Il fit partie de l'équipe défaite en finale de C2 en 1966 contre Dortmund. Il fut également champion du monde avec l'équipe d'Angleterre même s'il ne fut que remplaçant avec les trois lions. Il comptabilisa deux sélections contre l'Ecosse et la Norvège souffrant de la concurrence de l’arrière gauche d’Everton Ray Wilson. C'est plus de 42.000 personnes qui l'honorèrent le 8 avril 1970 lors de son jubilé suite à l’arrêt de sa carrière en avril 1969, mal remis d’une blessure au genou intervenue en août 1966. Le peuple rouge rendait hommage à un joueur de caractère, dont l’exemple pourrait utilement inspirer l’équipe actuelle. RIP Gerry Byrne.
  5. A la suite de l'homérique saison 2013/2014, où Liverpool fut très proche d'atteindre le Saint-Graal d'un 19ème titre, un double leitmotiv animait le début de saison 2014/15 : - « Here We go again » symbolisait l'ambition (certainement utopique) de lutter, une nouvelle fois, pour le titre, - « Nous ne ferons pas une Spurs » devait s'appliquer en matière de transferts, en référence aux nombreux achats réalisés par Tottenham, à la suite de la vente très profitable au Real Madrid de Gareth Bale, de joueurs au rendement moyen payés fort chers... 18 mois après, le bilan, en matière de transferts, s'avère terrible : D'une équipe, postulant pour le titre de champion d'angleterre, avec une des meilleures lignes d'attaque européenne, le fameux SAS Suarez-Sturridge-Sterling, alimentée par un milieu solide et dont le seul axe d'amélioration résidait au sein du secteur défensif, Liverpool est désormais, après 17 acquisitions dans tous les postes lors des deux mercatos d'été, dotée d'une équipe moyenne, dénuée de joueurs de classe mondiale, comme l'avaient pu l'être Steven Gerrard, Mascherano, Torres, Xabi Alonso ou Luis Suarez dans ces dix dernières années... Quelle politique de transfert a pu justifier un tel échec ? Lors de leur arrivée, nos propriétaires américains ont communiqué sur la théorie du « Moneyball », qui, outre une analyse approfondie en matière de statistiques, vise à miser sur de jeunes joueurs prometteurs, les faire progresser durant plusieurs années pour ensuite assurer un gain substantiel lors de leur revente. En terme de gouvernance, un comité des transferts avait été mis en place suite à l'expérience négative du directeur sportif lors de l'ère Dalglish II (en la personne de Damien Comolli), option que Brendan Rodgers avait réfutée lors de sa prise de fonctions. La composition de ce comité de transferts n'est pas officielle mais il semble composé au moins de deux chefs scouts (débauchés de Manchester City), du manager et d'Ian Ayre, en charge du budget et de la négociation des transferts avec les joueurs et leurs agents. A la vue des transferts réalisés ces deux dernières années, quels ont été les principes retenus par le club en matière de recrutement ? - En premier lieu, bien évidemment l'application du moneyball avec l'achat de jeunes joueurs normalement prometteurs à des prix plus (Ings, Gomez, Origi ou Manquillo certes prêté par l'Atletico Madrid) ou moins (Moreno, Can et surtout Markovic) abordables ; - l'achat de joueurs confirmés, souvent internationaux, libres ou proches de la fin de leur contrat (Milner, Lambert voire Clyne) : Ils sont, quelque part, le symétrique du moneyball ; les « jeunes pousses » devant être encadrées par des joueurs expérimentés même si leur impact sur la masse salariale du club est évidemment plus conséquent ; - les transferts onéreux de joueurs censés apporter une plus-value immédiate à l'équipe (Lallana ou Lovren en 2014, Benteke ou Firmino en 2015) : C'est évidemment dans ce secteur que le bilan est le plus catastrophique avec l'achat de joueurs surpayés au regard de leur valeur, dont les symboles sont un avant-centre et un défenseur central, achetés pour près de 60 M € et qui sont titulaires sur le banc... - Le cas Balotelli : Rétrospectivement, le recrutement de Crazy Balo paraît difficilement compréhensible : Doté d'un passif disciplinaire étendu dans ses précédents clubs, il n'était ni jeune ni véritablement « bon-marché ». Second choix, faute d'avoir réussi à attirer Alexis Sanchez sur les bords de la Mersey, il pouvait paradoxalement être considéré comme un risque maîtrisé vu son potentiel et une indemnité de transfert raisonnable, en comparaison d'autres attaquants de renom, permettant de limiter les pertes en cas d'échec : Force est de constater que le pari n'a pas été réussi, l'intéressé se signalant plus par ses frasques comportementales que par son activité de buteur... - Enfin, le recrutement de Bogdan rappelle l'incapacité de Liverpool, depuis une vingtaine d'années, à disposer d'un gardien remplaçant de bon niveau. Toutes les options ont été testées (le jeune gardien en devenir, le gardien expérimenté en fin de carrière, l'achat de deux gardiens de niveau équivalent simultanément avec Dudek et Kirkland...) sans véritable réussite, rappelée d'autant plus cruellement lors de la méforme du gardien titulaire à l'instar de la saison dernière... En conclusion, nous n'avons donc pas fait une Spurs mais deux suite aux belles ventes de deux joueurs de classe mondiale (Suarez en 2014 et Sterling en 2015) dont le produit a été, chaque fois, réinvesti dans un ensemble de « bons » joueurs, n'appartenant, en aucun cas, à la catégorie des top players, et qui ont été surpayés par rapport à leur valeur réelle, dont une minorité (Can voire Moreno, les cas de Firmino, Clyne et Lallana étant encore en suspens) peut être considérée comme un véritable succès. Encore plus contrariant, la théorie du Moneyball a rapidement montré ses limites dans l'environnement du foot-business, où les règles du fair-play financier restent peu coercitives au regard de l'environnement juridique communautaire et de la pression des intérêts financiers...Liverpool, pourtant un des clubs les plus riches du monde, n'est plus en mesure de garder ses meilleurs joueurs, notamment les jeunes quelques années, permettant de capitaliser sur leur talent avant de réaliser une belle plus-value financière à l'instar du modèle de l'AJ Auxerre sous Guy Roux...Le seul point relativement positif réside dans la capacité du club à vendre ses meilleurs joueurs à un bon prix depuis la fin des années 2000 (Xabi Alonso, Torres, Mascherano, Suarez puis Sterling), contrairement aux « soldes » que purent être les transferts de Mc Manaman ou Owen au Real de Madrid... La politique de transfert de Liverpool ressemble donc à un champ de ruines, suscitant au mieux de l'ironie chez les médias ou les supporters d'autres clubs. Il revient au seul élément de classe mondiale, désormais au club, c'est-à-dire son manager Jürgen Klopp, de rebâtir une organisation cohérente et efficace en matière de transferts. Disposera-t-il des moyens adéquats, similaires à l'environnement connu à Dortmund, pour mener à bien cette mission ? Restera-t-il surtout un dernier joyau de la couronne (Coutinho?) pour alimenter le budget transfert du prochain mercato d'été ?
  6. rafalabamba

    Bob Paisley

    Evénement qui s'annonce très intéressant : Dommage que ce soit pas un WE de match à Anfield...
  7. Good Afternoon From The Very Mild Shed Once again we are making our very Red All Over The Land Christmas Cards available to one and all. The cards, which can be viewed below, have been professionally drawn by Peter King formerly of the Kop newspaper that came to an end in June. Peter might be better known to Kop readers as PAKTOONS. We have two cards and they come in packs of TEN, five of each card. The prices are as follows; UK £8 per pack; Europe £9 and the Rest of World £10 The cards can be purchased by visiting www.redallovertheland.com and visiting the subscription page. Alternatively you can make a PAYPAL payment direct to redallovertheland@gmail.com. If you prefer to pay by cheque just make it payable to RAOTL and send to; RAOTL; 527 New Ashby Road Loughborough; LE11 4EX and if you want to make a bank transfer just email me for details. Allow 7 days for delivery although I’ll try and get orders out within twenty-four hours of receipt of payment. I’m happy to do special offers for bulk deals with Supporters Clubs and Associations etc. Just drop me an email and I’ll take it from there. I apologise if you have received this email in error and if you have received more than one copy of the email. I hope the cards are well received and of course, there is a slight Herr Klopp connection. Regards John Pearman Editor Red All Over The Land www.redallovertheland.com
  8. rafalabamba

    Série TV

    Homeland, une fois dégagé de son intrigue initial (je n'accroche pas non plus sur Hatufim), se bonifie avec l'âge... Assez rare pour être souligné...
  9. RAOTL n°216 Klopp en couverture . Dans son édito, JJP rappelle que seul le timing du limogeage de Rodgers constitue une surprise depuis la fin de saison dernière. Il se souvient aussi des quatre premiers mois de 2014 où les Reds étaient imbattables et ont pu légitimement croire au titre… . This is anfield The official illustrated history of LFC’s legendary stadium par Mark Platt et William Hugues est vivement recommandé comme cadeau pour les fêtes de fin d’année. . Un article de Lucas Steedman est consacré au déplacement à Bordeaux où l’auteur s’est fié aux indications de la French Branch pour trouver le point de ralliement. . Un article passionant de George Scott, apprenti à LFC pendant cinq ans en compagnie de Tommy Smith ou Chris Lawler sous les ordres de Shankly mais qui n’a jamais pu percer. . Viet-Hai Phung revient sur l’arrivée de Jürgen Klopp qu’il compare à celle de Rafa Benitez. Il lui semble que la sainte trinité chère à Shankly pourra être restaurée. Néanmoins, comme dit Klopp, « ce qui est important, ce n’est pas ce que pense les gens à ton arrivée mais à l’occasion de ton départ… ». . Graham Mack pense que le problème vient du mode de désignation du manager et souhaiterait qu’il soit élu chaque année par les season ticket holders… . Steven Scragg pense qu’après le 6 à 1 à Stoke, l’unique raison du non-licenciement de Rodgers fut la volonté de Klopp de disposer d’un break. . Steve Horton fait une comparaison des parcages visiteurs des stades de premier league. Pour soutenir son action caritative (faire le Costa Rica en vélo) en faveur de Zoe’s place, www.justgiving.com/steven-horton/3. . Un article historique sur les équipes de Liverpool dans les années 50-60 avec un focus sur les saisons 1946/47 et 1963/64.
  10. Good Afternoon Just to get the apologies in first, if you’ve received this email by accident [you’re not a Liverpool Supporter] I’m sorry for the intrusion. If you’ve received more than one copy of this email, again I have to say sorry but using two different systems wasn’t easy. Now for the big announcement ISSUE 216 OF REDALL OVER THE LAND, one with a German flavour, is out on Thursday assuming the printer can cope with the timescales. This is to give you advance warning because I’m sure you’d like to join the KLOPP KOP and get the WILLKOMMEN Issue. It will be on sale outside Anfield on Thursday and on Sunday and again at the Bournemouth game. To have a copy [nearly said KLOPPY] delivered to your door your can purchase online or you could simply subscribe online to either the printed or digital formats. If you are not a Liverpool supporter maybe you know a few Redmen, in which case could I trouble you to forward this to them? If you are a Liverpool supporter and want to further the cause of Fanzines maybe you could spread the word amongst your friends and fellow Reds? If you have a Facebook or Twitter account or whatever the latest hi-tech in thing is please share the news. Let’s get it around the world or as they say in Tesco, every little bit helps. New subscribers, old subscribers come and join us and keep Fanzines alive. Christmas ain’t far away, so a subscription as gift maybe? Scare somebody at Halloween even? If you’re in the USA treat someone for Thanksgiving, get the word around the fields of Fenway Park and surely we can get a few German Reds interested now? If you’re interested in subscribing or buying a single copy please visit www.redallovertheland.com and I hope to hear from you soon. Regards John Pearman Editor of Red All Over The Land
  11. rafalabamba

    Mike Marsh

    A-t-il retrouvé du boulot ?
  12. rafalabamba

    Brian Hall

    C’est avec tristesse que la famille rouge a appris la disparition de Brian Hall, décédé le 16 juillet à l’âge de 68 ans suite à une longue bataille contre la leucémie. Les Redmen se souviendront longtemps de cette figure populaire à Anfield, milieu de terrain inépuisable sous Shankly puis responsable des relations publiques dans les années 90. Ecossais né à Glasgow, il étudia les mathématiques à l’université de Liverpool, dont il sortit diplômé. Ce brillant parcours universitaire, qui lui valut d’ailleurs le surnom de « Little Bamber », alors que Steve Highway au parcours similaire était « Big Bamber », ne l’empêcha pas de de devenir joueur professionnel en 1968 à Liverpool. Milieu de terrain travailleur et volontaire, particulièrement apprécié de Shankly, il fit ses débuts en avril 1969 sur le terrain de Stoke et s’imposa rapidement dans l’entrejeu des Reds. Il fut le héros de la demi-finale de coupe contre Everton en 1971, inscrivant le but victorieux dans les dernières minutes à Old Trafford. Il fut, en revanche, la victime d’un changement tactique lors de finale aller de la coupe UEFA contre Monchengladbach en 1973 puisqu’après avoir été initialement prévu dans l’équipe, il fut finalement remplacé par Toshack suite au report du match au lendemain, en raison des pluies diluviennes sur la Mersey. Le Shank avait identifié des faiblesses dans la défense centrale allemande et les Redmen l’emportèrent 3-0 et assurèrent ainsi leur première victoire dans une compétition européenne... Brian Hall se bâtit, lors de ses 224 apparitions et 21 buts sous le maillot rouge, un palmarès impressionnant avec 2 titres de champion en 1973 et 1976, 1 Cup en 1974 et une finale en 1971 et 2 coupes de l’UEFA en 1973 et 1976. Il souffrit progressivement de la forte concurrence de Jimmy Case et Ray Kennedy, ce qui le poussa à quitter le club en 1976, décision qu’il regrettera amèrement, pour rejoindre Plymouth puis Burnley avant de se retirer du football professionnel en 1980. Il devient ensuite enseignant avant de revenir à Anfield en 1991 comme chef des relations publiques, poste qu’il occupa jusqu’en 2011 avant de se retirer pour raisons médicales. YNWA Brian !!!
  13. Un triplé aujourd'hui : KUYT FEVER !!!
  14. rafalabamba

    [Libre : Jose Enrique]

    Blessé ou toujours blacklisté malgré le changement de gouvernance ?
  15. Liverpool : les chœurs éternels (Marianne 1er août 2015 par Hubert Artus) Article « classique » sans véritable « scoop » pour un supporter des Reds : A Liverpool, on ne joue pas au foot. Car Liverpool représente le foot. Culturellement, socialement, politiquement. Communiste revendiqué, Shankly incarna d'autant mieux le club que ses valeurs collaient à la ville : sueur, larmes, passion, courage, engagement. Si le club rouge de Liverpool a longtemps ressemblé aux quatre garçons dans le vent, avec un côté bad boy et élégant, désormais sa colère et son énergie rappellent plutôt le son grunge de Nirvana. Preuve que le football est bien plus qu'une question de vie ou de mort. La preuve que nulle part dans le monde la ville de Liverpool sera seule. C'est la plus belle chanson du football. C'est d'ailleurs l'air le plus connu de ce sport planétaire : You'll Never Walk Alone. Un air qui vient de Broadway, écrit en 1945 par les Américains Rodgers et Hammerstein pour la comédie musicale Carousel, elle-même adaptation de Liliom, une pièce du Hongrois Ferenc Molnar. Dans le film, il est chanté pour redonner courage à une femme enceinte qui vient de perdre son amour. Devenue un standard, repris par Elvis Presley, Frank Sinatra, Barbra Streisand, Nina Simone - et par Dick Rivers en France -, il fut chanté pendant les marches pour les droits civiques. Par la suite, plusieurs clubs européens reprirent cet hymne à leur compte : le Celtic Glasgow, le Borussia Dortmund, le FC Sankt Pauli et, en France, le Red Star, à Saint-Ouen.
  16. Le mythique Liverpool Football Club aurait-il perdu son âme d'antan ? (Télérama 26 juillet 2015 par Emmanuel Tellier) Un très bon article sur le club et sa relation difficile avec le foot-business / Extraits : Emportée par la fièvre néolibérale, l'équipe légendaire de Liverpool n'est plus ce qu'elle était. Football anglais et nostalgie rock'n'roll : voilà ce que les Thaïlandais, les Indonésiens, les Malaisiens, très nombreux à Liverpool depuis quelques années, viennent chercher dans les ruelles de l'ancien port industriel. “ Ce phénomène est dingue : on a l'impression que Liver­pool n'est plus vraiment un club anglais, mais une marque internationale, un logo, comme pour les parfums, les vêtements de luxe. ».Comme d'autres anciennes gloires locales, Aldridge, 56 ans, est mis à contribution par le Liverpool FC pour tenter, selon ses mots, d'« incarner un passé et un état d'esprit, celui du football populaire des années 1970 et 1980, dont il ne reste pas grand-chose en vérité ». Pour « Aldo » Aldridge, « le football d'avant, populaire, bon marché, a du plomb dans les tibias. Le propriétaire de Liver­pool ne vient jamais voir jouer l'équipe ; il gère son bien comme une en­treprise à faire fructifier pour mieux la revendre dans quelques années ». Est-ce forcément un problème ? L'impact sur le jeu de l'équipe est-il négatif ? « Pas forcément, non. La dimension spectaculaire du foot est même plus forte qu'avant ! Les clubs se battent à coups de millions pour attirer les meilleurs joueurs — ou supposés tels — dans l'espoir de les voir marquer beaucoup de buts. Mais c'est une fuite en avant. Les joueurs changent sans cesse de club. Beaucoup deviennent des mercenaires. On ne construit plus rien sur la durée, l'esprit du sport est menacé. » Cette folie des transferts a provoqué une hallucinante inflation des contrats. En 2015, le salaire moyen d'un joueur employé par un club anglais est de 255 000 euros par mois. C'est six fois plus qu'en France (40 000 euros, une moyenne tirée vers le haut par le très riche PSG). « Les classes populaires ne peuvent plus venir au stade !, déplore Aldridge. Un billet coûtait l'équivalent de 3 livres quand j'étais gamin. C'est 55 livres (environ 78 euros) aujourd'hui pour la place la moins chère, et 750 livres (environ 1 050 euros) pour un abonnement d'un an dans le Kop ( la légendaire tribune populaire, derrière un des buts). A mon époque, le foot était un truc de prolétaires. Ceux qui étaient en tribune avaient grandi dans la même rue que ceux qui étaient sur le terrain ; ils avaient la même vie, les mêmes soucis. » Pour Crevoisier, les fans du Liver­pool FC refusent d'admettre que ce club mythique, tant aimé par leur père, leurs grands-pères, a changé du tout au tout. Pourtant l'âge d'or est révolu. « Au mieux, nous pouvons espérer être cinquièmes », confient Gareth Roberts et Neil Atkinson, les responsables de l'excellent site web de fans The Anfield Wrap : « Pour gagner, il faudrait dépenser encore plus, étoffer notre effectif, et donc aller vers une logique plus libérale encore... au risque de tuer l'âme du club. Nous sommes tiraillés, et désabusés. La logique financière fausse le championnat anglais ; et nous nous sentons les cocus de l'histoire... »
  17. We are Liverpool n°10 (C. Benteke en couverture) . Dernier numéro de ce fanzine, le rédacteur en chef n’ayant plus la disponibilité pour se déplacer à Anfield durant cette saison . Un article de Jeff Goulding sur la perte de foi en Rodgers suite à la défaite contre MU . Un article plus optimiste sur la paire que pourrait constituer Sturridge et Benteke à l’instar du duo Heskey-Owen. . Un article très intéressant revenant sur la saison 2013/14 et les troubles mentaux postérieurs à une course au titre, qui risque de ne pas se reproduire avant une génération…Pour l’auteur, il aurait été finalement moins douloureux de ne pas avoir cru au titre durant la saison. . Un article sur Ryan Babbel, jeune très prometteur, que Rafa Benitez, selon l’auteur, n’a pas su accompagner dans son développement . Neil Scott revient sur la nécessité de disposer d’un grand gardien pour une équipe prétendant aux honneurs et s’appuie sur Ray Clemence qui, lors de la saison 78/79, ne concéda que 16 buts en 42 journées avec 28 clean sheets !!! . Un article revient sur la politique de prêt de Chelsea (33 joueurs prêtés actuellement) dont Liverpool ne peut pas totalement s’inspirer faute de moyens équivalents. . A l’occasion du tirage au sort de l’Europa league, Steven Scragg revient sur le match de C2 en 1996 contre Sion avec un 6-3 (dont 3 buts en six minutes). . Jagdesh Singh compare le degré de confiance accordé aux différents managers dans l’histoire récente de LFC. . Un article sur les dernières déclarations de StevieG, qui aurait souhaité entrer dans le staff d’entraîneurs à l’occasion du renouvellement connue à l’été.
  18. We are Liverpool n°9 (B. Rodgers en couverture “Journey into the unkown) . Hommage à Brian Hall . Interview de Steve Hothersall, commentateur des matchs sur Radio-City : Son pire souvenir fut le 3-3 contre Crystal Palace, scellant les espoirs de titre en 2014 alors que la meilleure équipe de ces dernières années fut, pour lui, le Liverpool 2008-09 de Benitez. . Neil Atkinson s’interroge sur la notion de joueur favori : Un modèle pourrait être Dirk Kuyt tandis que cette saison le favori serait plutôt Coutinho. . Plaidoyer de Neil Scott pour l’Europa League : souvenirs des victoires en C3, nostalgie d’une confrontation contre St-Etienne, accès à la Champions League… . Sam Mc Guire vise à démontrer que Roberto Firmino sera une « bonne affaire » pour les Reds (2ème meilleur joueur de bundesliga derrière Robben). . Un article sur les joueurs barbus et leur représentation dans les équipes victorieuses en clubs ou en sélections… . Un traditionnel article est consacré aux pronostics pour la saison : Une 5ème place paraît un objectif réaliste alors que la place de Rodgers ne serait pas menacée (ce qui paraît un peu contradictoire…). . Un reportage sur la tournée en Malaisie avec un stade seulement à moitié rempli pour voir les Reds… . Jeff Goudlig consacre un article à l’absence de scousers dans l’équipe. Depuis 1955, il y avait au moins deux scousers dans l’équipe-type. L’auteur de l’article ne s’inquiète pas trop de cette situation, le scouser étant avant tout un citoyen du monde. Il rend, à cette occasion, un bel hommage aux supporters étrangers qui ne suivent pas uniquement l’équipe mais s’imprègnent de l’éthique et de la mystique du club… . Dave Usher s’enthousiasme pour l’arrivée de James Milner, joueur « old school » (pas de tatouages, ni coiffures tape-à-l’œil, ni agents) qu’il apprécie particulièrement.
  19. Red All Over the Land n°215 (Save our Kop Banners en couverture) . L’édito de JJP revient sur le risque grandissant que Liverpool ne devienne juste qu’un autre football club, où Anfield serait rempli de touristes qui pourraient aller voir progressivement ailleurs au vu des résultats de l’équipe. Il confirme qu’il n’a rarement vu une équipe aussi faible que celle contre West Ham. Si sa philosophie est de soutenir le manager, force est de constater que Brendan Rodgers a perdu la confiance des fans à une vitesse inquiétante. . Une photo amusante des écharpes vendues pour les supporters de Stoke City avec la mention Scouse Busters suite au mythique 6-1… Dans le registre amusant, une publicité pour Nivea de Lallana, Couti et Martin Skrtel : L’auteur se demande si ce dernier a véritablement le profil d’un utilisateur de soin du visage… . Un article revient sur la contreverse liée au déploiement des drapeaux et bannières, dont un supporter handicapé se serait plaint auprès du club… . Iain Morton s’interroge sur l’évolution de la fameuse atmosphère d’Anfield qu’il compare avec un match suivi à Nantes pendant l’été contre Guingamp (prix des places, chants…). . KadJ007 et Viet-Hai Phung appellent au changement dans le management du club avec le constat partagé que Liverpool mérite mieux que Brendan Rodgers… . Un article « historique » relatant la carrière d’Alf Arrowsmith, trop vite interrompue par une grave blessure dans les années 60. . Steve Horton relate un déplacement pour soutenir les « Liverpool Ladies » : Ambiance assurée… . Un article en défense de la coupe de la Ligue, rappelant que c’est le 1er trophée remporté par Brian Clough, le Mou, Pellegrini ou GH.
  20. Red All Over the Land n°214 (Recherche d’une légende en couverture) . Différents articles sur Stevie G évidemment en hommage avec toutefois un report critique de son dernier match à Anfield . Un compte-rendu de la 9ème visite à Moengladbach dans le cadre des relations amicales entre supporters des 22-25 mai : Le YNWA a été chanté avant le match contre Ausburg. Pour ceux qui seraient intéressés par le prochain déplacement, contactez grahamlfc@aol.com. . KADJ007 procède à une revue d’effectifs et se montre relativement optimiste pour le début de la saison… . Un article consacré à la difficulté pour acheter des billets sur Internet : attente de 4 heures pour pourvoir acheter un match contre Bournemouth en visibilité réduite… . Un vibrant hommage à Brian Hall : A gentleman first and a footballer second. . Steven Scragg fait un parallèle entre les tournées « exotiques » de préparation et les mauvais résultats en championnat qui s’en suivent. Des préparations en Suisse ou en Scandinavie lui semblent préférables. . Un compte-rendu exhaustif de la tournée australienne par un fan local. . Un article « historique » consacré à William Barclay, 1er secrétaire du Liverpool FC après avoir été celui d’Everton.
  21. Vu dans 20 minutes que la mairie de Liverpool avait mis en place un plan "Homes for a pound" pour réhabiliter un quartier autour de la rue Madryn (où serait également située la maison natale de Ringo Starr). Des maisons vendues (l'acquéreur n'a cependant pas le droit de choisir sa propriété) donc pour 1 £ !!! Le quartier est-il vraiment délabré pour justifier ce type d'opérations ?
  22. Même si le début de saison des Reds, pour la 1ère fois depuis presque trois décennies, m'indiffère presque totalement, j'ai encore du mal à me faire à l'idée que Liverpool devienne un club comme les autres et vire son manager en début de saison (ce serait le 5ème manager en 5 ans...)... D'un autre côté, quand on voit toute la "littérature" autour du club, il semble difficile pour Rodgers de remonter la pente désormais.
  23. rafalabamba

    Podcast

    Le podcast de Bruno Constant reprend pour la saison 2015-16 avec Philippe Auclair, Vincent Duluc et Jean-Michel Rouet.
  24. RED ALL OVER THE LAND ISSUE 215 ISSUE 215 OF THE LIVERPOOL FANZINE RED ALL OVER THE LAND WILL BE OUT THIS WEEKEND AND ON SALE AT ANFIELD AGAINST NORWICH, CARLISLE, ASTON VILLA AND SION. UNLIKE OFFICIAL PUBLICATIONS FANZINES GO FOR THE WARTS AND ALL APPROACH SO THE WEST HAM AND MANCHESTER UNITED GAMES DO GET A GRUESOME MENTION. THE FEATURE ARTICLE IS ABOUT THE BANNERS ON THE KOP FOLLOWING THE DAILY MIRROR STORY SUGGESTING THE CLUB MIGHT STEP IN FOLLOWING AN INCIDENT LAST SEASON. RED ALL OVER THE LAND CAN BE ORDERED ON LINE AT: www.redallovertheland.com SUBSCRIPTIONS ARE ALSO AVAILABLE. RED ALL OVER THE LAND ALSO COMES OUT IN DIGITAL AND AGAIN THIS CAN BE PURCHASED VIA THE WEBSITE. WE ALSO WANT NEW AND OLD SUBSCRIBERS; MATCH DAY SELLERS AND ARTICLES FROM NEW AND OLD CONTRIBUTORS. KEEP FANZINES ALIVE John Pearman Editor Red All Over The Land
  25. Encore une mauvaise nouvelle dans le monde des fanzines : Après dix numéros, We are Liverpool jette l'éponge pour des raisons de disponibilité personnelle de son rédacteur. Des trois fanzines qui existaient depuis plusieurs années, ne reste donc que Red All Over The Land (RAOTL) N'hésitez pas à vous abonner à l'édition numérique de RAOTL : C'est moins de dix euros pour un abonnement d'un an. Dear Reds The new issue of We Are Liverpool is now available to pre-order at: www.weareliverpoolfanzine.com It will be available to buy at the Norwich game at the weekend. Cover is attached. Copies (including subscriber copies) will be posted Saturday 19th SeptemberDigital subscribers will receive the link on the evening Friday 18th September. This will most likely be the last issue of the fanzine, as due to unforeseen circumstances I'm unable to attend most of the games for the rest of the season - where we sell the vast majority of our copies. If you are a subscriber I will be refunding the monies for the remaining issues during the first couple of weeks of October, once I've confirmed for definite I won't be able to do anymore. Thanks to everyone who has bought it. I hope you've enjoyed it.
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